jeudi 23 février 2012

Quand le Griot Migrateur OVONO Lambert Petit Crie famine en menaçant de mort le Président Ali BONGO ONDIMBA


Encore une loque qui n’a rien compris ou mieux toujours le même qui n’a encore rien compris. En effet, voilà qu’un de ces grands théoriciens des complots internationaux sûrement commandités par la "NASA" remet les couverts pour nous dire qu’il y’aurait un soit disant grand complot anti-fangs au Gabon. 
C’est à travers les lignes d’un amphigouri chiffon de garage,  aussi déplorable qu’enfantin, qu’on peut lire le cri d’alarme d’un être « Lustucru » qui n’accèdera jamais aux fonctions dont il rêve et se cache derrière une couverture ethnique à peine assumée, pour évoquer sa propre histoire qu’il veut transformer en généralité.

Ainsi, l'hurluberlu de petite nature, le bien nommé « Petit » OVONO,dont le seul prénom traduit à la fois sa petite taille que  la petitesse de son esprit, nous dévoile dans une sorte de  litanie injurieuse, son objectif de transformer l’Administration gabonaise en un « clergé ethnique » au service d'une communauté, afin de récupérer des postes qui  font sans doute saliver son appétit vorace  et abyssal du pouvoir et de l’argent. 

Du Trésor à la douane, du budget aux impôts, voilà qui perturbent les nuits de ce compatriote jadis éphémère conseiller du défunt Président Omar BONGO ONDIMBA,qui fut balayé de la Présidence par le Tsun'ali de 2009 pour son abandon de poste dévoilé après les très  fructueuses conclusions de l' audit de la fonction publique  l'année suivante, rejeté par ses "frères" d'adoption Bitamois en raison de ses origines douteuses (puisqu’il serait en réalité un équato refoulédu village  d’Ebébéyine),  tout comme son mentor, l’albatros de Medouneu.Bref.

Comment tordre la réalité à un tel point ? Comment avoir une telle méconnaissance de la gestion de la chose publique et des valeurs qui ont permis au Gabon de survivre à tous les cataclysmes détonants du continent africain ?

Imaginez-vous  donc que ce soient  ces petites gens  aux intentions ignominieuses  qui caressent le  rêve d’assumer le pouvoir dans notre pays, mais au juste  pour le guider vers quoi,si ce n’est la déchéance totale, l’ethnisation de la chose publique, la concentration du pouvoir en des mains infertiles qui ne portent que le signe de la jalousie et de la soif du matériel, tellement le désert intellectuel qui les habite n’a pour comparable que les gargouillements de leurs ventres affamés ?

Quand ce n’est pas un « génocide à la rwandaise » qu’on nous promet au lendemain de l’élection présidentielle de  Septembre 2009, c’est un coup d’état à la nigérienne en Mars 2010, et aujourd’hui des menaces  de mort contre le Premier Magistrat de la République !

Quel est donc  ce gabonais qui, au moment où la Nation entière entonne les refrains de l'Unité, du bon Vivre Ensemble, de Paix, de Partage  et du Sursaut Patriotique (tel qu' exprimé lors de la CAN 2012 dans notre pays), peut encore arborer publiquement  la soutane du ridicule  pour soutenir et défendre de telles hérésies sans aucune honte ?

Est-ce parce que son employeur est un « professionnel du ridicule », que ce « Petit » personnage met en veilleuse l'usage de ses « neurones » pour  rédiger des  torchons à l' image de sa pensée, ou est-ce plutôt parce que son cerveau semble désormais atteint par la ménopause? Est-ce l'explication de sa soudaine palinodie contre le PDG dans lequel il s’est pourtant servi avec gourmandise, d'abord en qualité de membre du Comité Central après avoir séjourné plusieurs années dans le RNB, avant de réussir son coup de maître en se faisant parachuter Conseiller (sans attribution) du défunt président Omar BONGO ONDIMBA?

Sachez  cher Monsieur le « Petit », que le Gabon, porté aujourd’hui par son Président de la République Ali BONGO ONDIMBA que vous osez menacer de mort, est un Gabon pour Tous, sans distinction d’âge, d’ethnie ou de genre, et où seuls la compétence et le talent des méritants ont résolument pris le pas sur la République des passes-droit et des privilèges ethnocentriques!!

Sachez aussi Monsieur le "Petit", qu’au Gabon ce n’est pas sur une base arithmétique  d’être soi-disant 40%  de la population que l’on gagne une élection!Votre raisonnement est sibyllin, totalement abscons et  même suranné !

Nous le comprenons aisément puisqu’en menant une vie de valétudinaire et de pauvre hère en France, vous avez décidé de jouer les panégyristes de celui que vous cataloguiez dans un passé encore récent, comme étant le Prince des Ténèbres ! Si vous avez perdu l’usage de la honte, ayez au moins pitié de vous et de vos enfants !

Les espèces humaines en voie de disparition comme la vôtre monsieur le "Petit", ne servent nullement leur communauté ethnique par de tels propos aux relents tribaux. Heureusement d'ailleurs que vous êtes loin de représenter les 40% de la communauté Fang, car vous n’êtes qu’un imposteur niais, un imposteur intellectuel et un imposteur de la société civilo-politique au  nom de laquelle vous croyez parlez.Au Gabon nous sommes Unis et Indivisible, qu'on soit  Fang, Orungu, Téké ou toute autre, mais gabonais avant tout !

Un conseil tout de même, si vous ne souhaitez guère voir déballer sur la place publique les vraies raisons de votre auto-exil en France ainsi que les secrets de votre prostration, vous gagnerez fortement en faisant profil bas, en faisant  de votre prolixité verbale, un usage moins ubuesque en là mettant  au service de la République, et non au service d’un homme, ou d'une cause communautariste!

Ce n’est pas la première fois que vos interventions se distinguent par leur caractère surréaliste, mensonger, partisan et ethnique, mais dans le même temps,  quelque soit le temps passé dans un marigot la branche n’en devient pas plus un caïman, dit-on !

Pour vos menaces et insultes envers le Président de la République, nous laissons le soin aux hommes de Droit et de Loi de vous préparer une réponse judiciaire ! 

Auteur:Mvé Ebang Junior, Akagha Mba Darius, Philomène Akanda 
Sources: La jeune garde

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