jeudi 29 septembre 2011

JEAN EYEGHE NDONG: du statut de Premier Ministre à celui de Premier Fumiste : La gaffe de trop dans la presse française

Jean EYEGHE NDONG, le Premier Ministre le plus nul de l’histoire du Gabon et de la CEMAC devenu Premier Fumiste est le prototype de l’apôtre de la République bananière et de la perpétuation de la Françafrique qui se répandent hors de leur territoire national pour se trouver des relais médiatiques dans le but de nuire à leur pays, toute honte bue.


  

Le ci-devant adepte du  ralliement ethnique de dernière heure et perdant annoncé aux élections présidentielles est, on le sait, un sieur terne, incompétent et on le saura désormais fieffé menteur et irresponsable.

Entre ses affirmations et dénégations, ses « je sais » et « je ne sais pas », ses confidences et ses valses hésitations, le voilà en récidiviste incorrigible qui indispose à nouveau le monde et les Gabonais, y compris dans ses propres rangs. Le sieur n’est pas futé, il n’a pas et n’aura jamais l’étoffe  d’un homme d’Etat. Tout au plus un gros rat repu de rédactions, bénéficiaire de gentillesses de celui qu’il vilipende.


Toute honte bue, le voilà qui convoque la pudeur africaine vis-à-vis de ceux qui ne sont plus de ce monde. Cela ne l’empêche pas de se répandre dans ses approximations.

Sait-il vraiment ce qu’il raconte ? Pitoyable ce bonhomme !

Recalé politique,  ayant exercé les plus hautes responsabilités politiques et publiques, Jeannot lapin  grande gueule a révélé sa stature minuscule. Si les pratiques qu’il confirme ont existé, il ne pourra pas se dédouaner ainsi en tant que Premier Ministre. C’est trop facile de faire l’ignorant, ou de se taire sciemment, assis sur son maroquin sans langue délier pendant trois ans.

Facile de se réveiller deux ans après avoir été remercié et de jouer au petit rapporteur sur les radios étrangères tout en revêtant son hideux manteau de pourfendeur de la Françafrique dont il porte tous les gènes.

Au fond, Jeannot langue fourchue vient de passer à l'aveu de  ses propres échecs cumulés. Il fait partie de ceux qui perdent une occasion de la fermer.

Il devrait du reste être entendu à titre de témoin suite à ses révélations radiophoniques. La brigade financière devrait profiter de son séjour en France pour le convoquer puisqu’il semble en connaître un bout.

A moins que Jean Marie Le Pen ne lui adresse une citation directe.

Mr Eyeghe Ndong devrait être et sera entendu aussi par la justice puisqu'il semble être au fait et au parfum de certaines pratiques. Comme il a tendance à s'épancher sur tout ou rien, il aura une bonne tribune pour déballer sa bile et son expertise en portage de fonds ; n’est-ce pas Mr le Milliardaire devenu sans héritage, ni travail et encore moins gain au PMU.

Monsieur le Premier Ministre par accident et contingence, ex-squatteur au PNUD, le débat politique gabonais se passe au Gabon et non dans les salles de rédaction françaises.

Rentrez donc et venez nous retrouver sur les plateaux nationaux et devant nos concitoyens qui seuls décident et décideront de l'avenir de notre pays, au lieu de vous perdre en conjectures, procès en sorcellerie, affirmations, dénégations, invectives. 

S’agissant des prochaines élections législatives, en clair, votre intention est de contourner la loi, de vous asseoir sur la Constitution et de faire ce qui convient à votre propre schéma politique.

Cela n'est pas possible dans un Etat de droit.

Cela ne sera pas possible au Gabon même dans vos rêves et cauchemars.

Vos menaces, insinuations et autres jérémiades et gesticulations nous laissent de marbre.

Vous trouverez à qui parler. Chaque chose en son temps !

Au fait, le Feu Président Omar Bong Ondimba nous a fait une petite confidence également: "Eyeghe Ndong est de tous, le plus mauvais Premier Ministre que j'ai nommé. J'admets une erreur de Casting". Voilà une révélation qui ne peut surprendre puisque le Gabon entier l'a vécu durant trois années!

Auteur: La Jeune Garde de l'Emergence

Quand la sénilité d’EYEGHE NDONG se révèle par le Mensonge dans la Presse Française (Act 1)

Désormais en manque de visibilité et en proie à une sénilité d’esprit, certains de nos hommes politiques n’hésitent plus à s'essayer ouvertement au ridicule pour paraître sur les écrans, surtout lorsqu'ils choisissent la presse française comme terrain de prédilection...



Décidément les récentes révélations du dernier « mohican » de la Françafrique  Robert Bourgi alias « BOB », au sujet de prétendues mallettes qu’auraient distribué certains Chefs d’Etat africains, en l’occurrence Feu OMAR BONGO ONDIMBA, ont soudainement servi d’antidote à  une poignée de personnages parmi lesquels un ancien Premier Ministre gabonais, pourtant  jusque là atteint de la maladie d’Alzheimer... Suivez notre regard...

Longtemps plongé dans une latence comatique d’idée pour son propre pays, Monsieur Eyeghe Ndong  a choisi de déverser le fruit de  ses dernières réminiscences en prêtant sa voix à plusieurs médias français et africains, et s’offrant par la même occasion un statut de « témoin » dans la désormais « Affaire Bourgi ».  Ah, Monsieur EYEGHE NDONG, que vous arrive-t-il donc !   

Nimbées d’une ribambelle de contradictions qui traduisent l’état de « ménopause mentale» très avancé de l’ancien Premier Ministre Gabonais, les différentes interviews accordées par Jean Eyeghe Ndongoffrent de quoi rigoler pendant plusieurs semaines mais surtout de quoi susciter des interrogations sur les mobiles réels de ce coming out assez surprenant.

Partant d’un « J’en ai entendu parler », Jean Eyeghe Ndong  n’a pas hésité à se fendre d’un récit  truffé d’équivoques, dans lequel il se vente d’avoir obtenu des confidences du défunt  Président Omar BONGO ONDIMBA  au sujet des « fameuses mallettes de Robert BOURGI », en rajoutant que selon lui, ces pratiques n’auraient pas cessé. De quoi retourner l’illustre Chef de l’Etat défunt de sa tombe !

Voilà un ancien petit premier ministre qui a gouverné par "pilotage automatique" pendant 3 années au Gabon, et qui s’octroie le droit de corroborer des allégations dont-il sait bien que l’auteur prétendu ne pourrait les démentir pour cause de mort. Une fois de plus, Jean Eyeghe Ndong a raté une belle occasion de se taire, choisissant de  s’offrir en spectacle, successivement sur les antennes de RFI, France 24 et Africa 24.  C’est ainsi que grâce à ses prouesses en la matière, il consacre définitivement  son statut de « Professionnel du Ridicule ».

Au-delà des aspects anecdotiques que traduisent ses passages dans les médias français, Jean Eyeghe Ndong confirme bien qu’il est le prototype même des instigateurs de tensions entre deux Nations (le Gabon et la France), qu’une forte amitié lie depuis plusieurs décennies ! Oui, les relations entre le Gabon et la France sont au beau fixe et ce, depuis le Président Léon MBA en passant par Omar BONGO ONDIMBA, jusqu’à Ali BONGO ONDIMBA, chacun l'adaptant à son époque.
 
Que ceux qui ne le savent pas le tiennent désormais pour dit, la nature des relations entre le Gabon et la France se résume de la manière suivante : Léon MBA les a initiées, Omar BONGO ONDIMBA  les a renforcées et Ali BONGO ONDIMBA vient de les décomplexer!

Monsieur Eyeghe Ndong, ce que vous refusez d’accepter en réalité, c’est le CHANGEMENT qui s’opère au Gabon et auquel vous vous opposez de manière fébrile et sans conviction. Arrêtez donc de cultiver les derniers vestiges  de la vielle mouvance politique gabonaise. Celle qui a spolié le Gabon de ses vertus en prônant un conservatisme paralysant.
 
Durant vos trois années de Primature, vous aurez prospéré en semant le Cancer de l’Immobilisme, la montée du syndicalisme politique et la dépravation des mœurs dans notre pays !

  Mais ce qui vous dérange et ronge votre existence aujourd'hui, Monsieur Eyeghe Ndong, c’est  que notre Gabon, notre pays, le Futur Gabon émergent soit en pleine mutation ; ce qui obnubile votre nouveau statut de préposé par défaut, c’est le fait que depuis l’accession d’Ali BONGO ONDIMBA à la Magistrature Suprême, au  Gabon désormais rien ne se perd, tout se crée et tout se transforme !

Vos tentatives de courtisans de la presse françaises sont toutes vouées à l’échec, puisque même en France ON VOUS CONNAIT !

Vous avez incontestablement été le plus mauvais Premier Ministre que le Gabon ait connu, c'est de notorieté publique!

Au moment où d’autres dignitaires de son âge rédigent leurs mémoires et préparent minutieusement leur rencontre avec Dieu en dressant  le bilan de leur utilité ici bas, ce désormais « Papy Jean » de la République préfère s’accommoder à un rapport de préposition dominé par la pratique des  sales besognes et dont le commettant n’est plus à présenter… Vous le connaissez tous!

Aussi, lorsqu’on joue à l’accusateur et au vieux petit rapporteur il faut savoir apporter les preuves de ses élucubrations ! En définitive, Cher Monsieur Eyeghe Ndong, lorsqu’on  on n’a pas d’arguments politiques, de projet sociétal et développemental, de vision, de réalisations à son actif, on la boucle plutôt que de vouloir s’illustrer négativement sous les feux de la rampe en s’adonnant à un ridicule spectacle devant la presse internationale !

Nul besoin de revenir sur la question de la Biométrie qui demeure un sujet quelconque pour le commun des Gabonais, le Juge constitutionnel ayant tranché le litige en privilégiant le strict respect de la Légalité Constitutionnelle!

Ceci n’est qu’une entrée en matière… Nous prendrons le temps de décortiquer la substance même des différentes déclarations fallacieuses de Monsieur Eyeghe Ndong
 
Auteurs: L'UJPDG-FRANCE et La G.R.G.E (Garde Rapproché du Gabon Emergent)

mercredi 28 septembre 2011

Le Ministère de l'Intérieur répond à l'opposition


Communication du ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique, de l'Immigration et de la Décentralisation


Le samedi 24 septembre 2011, les leaders de certains partis politiques de l'Opposition accompagnés pour la circonstance de quelques membres de la société civile, se sont réunis au siège du Congrès pour la Démocratie et la Justice (CDJ), sis au quartier «Petit-Paris», afin de dénoncer ce qu'ils qualifient comme l'obstination du Gouvernement à organiser la prochaine élection législative sans la biométrie.


En effet, le Parti Social Démocrate (PSD), le Rassemblement National des Bûcherons (RNB), l'Union pour la Nouvelle République (UPNR), l'Union du Peuple Gabonais (UPG), le Forum Africain pour la Reconstruction (FAR), le Congrès pour la Démocratie et la Justice (CDJ), ainsi que Messieurs Zacharie ' MYBOTO et Casimir OYE MBA ont réitéré leur position selon laquelle il n'y aura pas d'élections sans la biométrie.


Face à cette affirmation, le Gouvernement de la République, respectueux de la légalité, rappelle aux uns et aux autres qu'au fort moment du débat sur l'introduction de la biométrie dans le processus électoral, la classe politique dans son ensemble a été édifiée sur les contraintes d'ordre juridique, financier et temporel qui présidaient à la mise en place de cette nouvelle technologie.


Devant les contraintes constitutionnelles qui commandent le renouvellement du mandat des Députés à l’Assemblée Nationale au terme de la présente législature au plus tard le 24 décembre 2011, le Gouvernement de la République a saisi en son temps la Cour Constitutionnelle à l'effet de solliciter le report de ce scrutin.


Le rejet par la Haute Juridiction de la saisine du Gouvernement a été porté à la connaissance de l'opinion nationale et internationale par les voies légales en vigueur.


A la suite de cette démarche juridictionnelle, le Président de la République Chef de l'Etat a personnellement invité ses compatriotes, à l'occasion de son traditionnelle adresse à la Nation, le 16 août 2011 à se plier devant la Décision de la Cour Constitutionnelle qui reste sans appel et s'impose à tous.


Les voies autorisées s'étant clairement prononcées sur cette question, le Gouvernement ne juge plus l'opportunité d'en dire davantage si ce n'est de réitérer l'exigence légale d'appliquer la biométrie à compter des élections locales de 2013 conformément aux dispositions de l'article 4 de l'Ordonnance n° 0009/PR/2011 du 11 août 2011 modifiant, complétant et abrogeant certaines dispositions de la loi n° 07/96 du 12 mars 1996 portant dispositions communes à toutes les élections politiques.


De plus, les dispositions constitutionnelles fixant la périodicité de renouvellement des mandats électifs étant toujours en vigueur, le Gouvernement n'a qu'une alternative, celle de convoquer le collège électoral à l'échéance fixée.


Le Gouvernement pour sa part, invite l'opposition gabonaise à intégrer le processus d'organisation de la prochaine élection législative qui sera organisée dans les conditions de transparence.


Sous d'autres cieux, c'est la non application des dispositions constitutionnelles qui entraîne des troubles menaçant ainsi la paix sociale.


Le Gouvernement invite par ailleurs les citoyens à la vigilance car, certains leaders politiques qui appellent au boycott de la prochaine élection législative sont ceux là même qui ont pris les dispositions pour inscrire leurs militants et sympathisants sur les listes électorales.


Profitant de l'opportunité qui m'est offerte, il me plait de porter à l'attention de l'opinion nationale et internationale qu'il me revient que certains responsables politiques continuent de s'exprimer au nom de l'Union Nationale dont la dissolution a été prononcée par l'arrêté n° 00l/MISPD du 27 janvier 2011. A ce sujet, il convient de rappeler que le Conseil d'Etat saisi à cet effet par les fondateurs de cette formation politique a confirmé la décision du Gouvernement.


Par conséquent, les personnes qui se prévalent de cette formation politique au Gabon ou ailleurs, violent délibérément les dispositions de la loi et s'exposent de ce fait aux sanctions prévues en la matière. S'agissant enfin de l'opération d'établissement et de renouvellement de la Carte Nationale d'Identité, le Gouvernement qui note avec satisfaction l'enthousiasme des compatriotes à se voir délivrer ce document tient à rassurer ces derniers sur la poursuite de l'enrôlement qui permettra à terme à chaque gabonais d'être doté de cette pièce d'identité.


Je vous remercie.


Fait à Libreville, le 26 Septembre 2011
Le Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique, de l'Immigration et de la Décentralisation.
Jean François NDONGOU


Source : PDG - Chine

vendredi 23 septembre 2011

Le Gabon, locomotive de l’émergence…

Le pays veut conforter sa place de locomotive en Afrique centrale dans la mise œuvre des programmes d’émergence économique.
Les résultats de la politique de l’émergence affichés par le Gabon depuis les deux dernières années, ont conduit plusieurs pays d’Afrique centrale à adopter, eux aussi, le model gabonais afin de rejoindre le giron des pays émergents à l’horizon 2025 en réadaptant leur politique économique.
L’objectif décliné par le dirigeant gabonais, lors de son allocution du 17 août 2011, de faire du Gabon un pays émergent à l’horizon 2025 passe inéluctablement par des projets structurants. A quatorze ans de l’échéance annoncée, le chemin à parcourir reste certainement long, du fait même de la spécificité de son tissu économique et industriel. En effet, les rapports sur l’économie gabonaise démontrent une forte dépendance de l’économie nationale au secteur primaire.
Cette forte dépendance n’a pas véritablement enclenché le développement du pays durant quatre dernières décennies, d’autant qu’en même temps, le secteur tertiaire pointe en deuxième position, tandis que le secondaire caracole en dernière position.
Sur la base de ce constat, experts et analystes économiques s’accordent sur le fait que même si le secteur tertiaire est sans valeur ajoutée,  le secteur secondaire  de l’économie gabonaise constituera une locomotive pour le développement du pays, étant donné que la tertiairisation ne génère pas beaucoup d’emplois.
Locomotive de la CEMAC
Le Gabon, avec une population estimée à plus de 1,5 million d’habitants, regorge d’énormes richesses naturelles et minières. L’objectif déclaré des autorités, qui est d’en faire un pays émergent au cours des quatorze prochaines années, apparaît comme un pari réalisable. Et pour cause, l’économie gabonaise, d’après la Confédération patronale gabonaise (CPG), est largement dominée par le secteur primaire, qui concentre 55% de la production totale du pays. Sa structuration actuelle peut en faire un levier de développement indiscutable en ce sens que c’est le secteur primaire qui crée la richesse, et par conséquent stimule la croissance. Le secteur primaire, qui occupe largement le peloton de tête, est suivi par le secteur tertiaire avec 29% de la production nationale, puis vient le secteur secondaire avec 8% de la production, tandis que le secteur des services non marchands boucle la boucle avec près de 8% de la production totale du pays.
Avec une forte dépendance de l’économie gabonaise sur le secteur primaire, la relance de la croissance à partir de ce seul secteur devient difficile, d’autant qu’il s’agit d’un secteur « difficilement contrôlable, où les capitaux étrangers joue un rôle prééminent ». La situation est d’autant compliquée, puisque dans 90% de ces entreprises, l’Etat n’a qu’une influence marginale.
Si ce modèle économique a eu ses réussites, il peut difficilement impulser un véritable développement industriel, prélude à une émergence et à une croissance forte et durable, conformément  aux ambitions du numéro 1 gabonais.
Locomotive de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) avec près de la moitié des ressources financière de la sous-région, le Gabon, qui compte près de 2 millions d’habitants ne saurait longtemps compter sur ces atouts pour consolider son leadership. Il convient donc de renforcer la présence de la puissance publique dans le capital de toutes les entreprises stratégiques du pays, à l’image du montage réalisé sur la SETEG et en cours auprès d’Eramet. Sans pour autant exclure des percées dans celui des grandes entreprises et les grands secteurs d’activités des pays voisins afin de contrôler ou d’avoir la main mise sur l’économie de la sous région.
Il va sans dire que la décision des autorités d’engager des chantiers structurants, des projets d’exploitation des minerais, de la production hydroélectrique et de l’exploitation pétrolière et gazière, s’inscrit dans une politique d’industrialisation du pays parce que « le gouvernement est conscient que c’est ça qui crée la richesse et développe le pays. C’est le sens de la politique des Grandes ambitions que le chef de l’Etat Ali Bongo propose à ses concitoyens », comme l’a précisé dernièrement le Premier ministre Paul Biyoghé Mba.
Dans la mouvance des ambitions du Chef de l’Etat, certains patrons, lors du lancement de la première phase de la Zone économique spéciale de Nkok, ont réitéré leur ambition de faire du Gabon, « un Gabon émergent et industriel, où les entreprises créent les emplois et la richesse, synonyme de croissance économique ». Un modèle de développement économique qui met l’accent sur la production et la transformation des produits locaux, et la prééminence du secteur industriel.
L’annonce des projets structurants par le président Ali Bongo Ondimba s’inscrit dans cette logique d’industrialisation et d’émergence du Gabon d’ici 2025. Ces patrons ont émis le vœu de faire du « Gabon la locomotive de la sous-région, un peu à l’image de Singapour».
Ambitieux programme politico-économique s’il en est, dont la matérialisation commande qu’on combatte avec la dernière énergie la corruption et qu’on secoue en permanence les reines de l’inertie.

Sans la corruption et le désordre, le Gabon décolle…

Depuis l’accession d’Ali Bongo Ondimba à la magistrature suprême, un point d’honneur paraît avoir été mis sur les plans politique, diplomatique, économique et social.
Dès l’entame de son mandat, un développement se met progressivement en place, bâti sur les cendres chaudes de la tumultueuse décennie qui s’est achevée. Ce nouvel élan qu’il est loisible de constater en 2011, tant il s’impose dans sa tangibilité à l’observateur même le plus mal avisé, constitue le socle de la stabilité politique et sociale, et le garant d’un équilibre économique sans équivoque à même de consolider la prospérité et donc la paix des citoyens à la veille des enjeux majeurs que sont les législatives 2011 et la CAN 2012.
« Une page importante de l’histoire du Gabon s’est ouvert en 2009, maculée par les embellies tous azimuts qui préfigurent des lendemains qui chantent pour le peuple gabonais. Il va sans dire que le Gabon a besoin de se défaire de certaines pesanteurs pour réaliser tous les projets promoteurs qui peuvent le hisser au rang d’une Nation émergente.  Il faut secouer les reines de l’inertie, combattre la corruption avec la dernière énergie car, elle a son lit dans la Fonction Publique ».
Cette corruption est présente des hautes instances au panier de la ménagère. Il va s’en dire que le Président Ali Bongo Ondimba aura du pain sur la planche pour éradiquer cette tumeur. C’est pourquoi, il ne cesse d’inviter toutes les bonnes volontés qui pensent comme lui que la priorité des priorités devrait être l’émergence de l’intérêt général, à venir l’aider à relever ce challenge.
Ainsi donc, malgré les frictions nées de l’incompréhension par l’opposition du rendu de la Cour constitutionnelle sur le rejet du report des élections législatives en vue d’y introduire la biométrie, on a des bonnes raisons d’espérer que  les législatives de 2011, auront bien lieu avec l’adhésion du plus grand nombre d’acteurs politiques. Et que, passé le temps des atermoiements, place sera laissée au consensus autour de la CAN 2012, ainsi qu’aux importantes réalisations dont notre pays a tant besoin pour son émergence.
A la lumière de son discours à la Nation le 17 août 2011, le Chef de l’Etat, qui tel un restaurateur chevronné, semble décidé de mettre les petits plats dans les grands pour un énorme buffet autour duquel il convie tous ses compatriotes, de toutes les obédiences  religieuses ou sensibilités politiques  des quatre coins du pays. Afin que l’année 2012 qui s’approche à grands pas ouvre une lueur d’espoir et d’opportunités partagés pour tous et fasse place nette à un climat d’apaisement politique aidant à la réussite de cette grande messe du ballon rond africain que le pays s’apprête à organiser conjointement avec la Guinée Equatoriale.
La paix qui devra régner sur notre sol étant un gage de sécurité pour les investissements étrangers et nécessité pour l’hospitalité de nos hôtes durant  ces moments sportifs.

mercredi 14 septembre 2011

Gabon 2 ans après, combien gagne un Ministre? Promesses tenues par Ali Bongo Ondimba

Ali Bongo a diminué le train de vie des hauts fonctionnaires de l'Etat. Avant, il était dit que les Ministres  gagneraient  pas moins de 7 000 000 frs CFA/mois au Gabon.

Le train de vie des ministre Gabonais « INFLATION »  ou « DEFLATION »  depuis l’élection d’Ali Bongo Ondimba à la tête Du Gabon ?

Sous le mandant d’Ali Bongo Ondimba, un ministre au Gabon gagne actuellement :

- 3 800 000 de Francs CFA
- bénéficie d’une voiture de fonction
-  et paye lui-même son logement (il n’y a pas d’indemnité de logement).

Promesses tenues!