lundi 28 février 2011

Communiqué : Mba Obame et ses acolytes seront mis à la disposition des Juges !

Tard dans la nuit du 27 février 2011, la ministre du Travail, de l’Emploi et de la Prévoyance Sociale, Porte-parole du Gouvernement, Angélique Ngoma, a lu sur les antennes de la télévision publique RTG1, le communiqué, publié ci après in extenso, portant sur la sortie de leur exil onusien et d'auto-séquestration de André Mba Obame et ses acolytes.


Ceux-ci «demeurent à la disposition de la justice gabonaise», a conclu la porte-parole du Gouvernement.


Les Gabonais et la communauté internationale ont été informés, avec étonnement, le 25 janviers 2011, de la cérémonie de prestation de serment de monsieur André Mba Obame en qualité de Président de la République, en violation flagrante des dispositions de la Constitution de la République Gabonaise, dix sept mois après l’élection présidentielle d’août 2009 ayant abouti, ou terme d’un contentieux vidé par la Cour Constitutionnelle, à la validation de l’élection de monsieur Ali Bongo Ondimba en qualité de Président de la République Gabonaise ainsi qu’à sa reconnaissance par la communauté internationale.

A l’issue de cette parodie, monsieur André Mba Obame et les membres de son prétendu gouvernement, ont décidé de se rendre dans les bureaux du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) où ils ont séjournés jusqu’au dimanche 27 février 2011.

Suite aux différents entretiens que le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence monsieur Ali Bongo Ondimba a eus avec M. Ban Ki-Moon, le Secrétaire Général des Nations Unies, a dépêché à Libreville une mission technique conduite par M. Sammy Kum Buo, directeur de la division Afrique au Secrétariat Général des Nations Unies.

Faisant montre, une fois de plus, de sa magnanimité et de son esprit d’ouverture et de construction, le Président de la République, Chef de l’Etat, a donné une suite favorable à la requête de l’ONU. A cet effet, le gouvernement gabonais informe l’opinion nationale et internationale que les membres de ce groupe sont sortis des locaux du PNUD ce dimanche 27 février 2011 à 10 heures. Comme tous les citoyens gabonais, ils bénéficient de la protection publique.

Cependant, le gouvernement de la République tient à rappeler fermement que le Gabon est un Etat de droit. Par conséquent, monsieur Mba Obame et les autres compatriotes ayant porté atteinte à l’ordre public par leurs agissements subversifs et illégaux, demeurent à la disposition de la justice gabonaise devant laquelle ils devront répondre de leurs actes à tout instant.

Fait à Libreville, le 27 février 2011

Le Gouvernement



Source : UJPDGF

Quand il faut payer, AMO tire sa révérence !

Ce dimanche matin aux environs de 1O heures (heure de Libreville) a pris fin l’auto-séquestration que s’étaient infligés les dirigeants de la défunte Union nationale (UN, parti de l'opposition dissous) en ayant cru bon d’aller se « réfugier » au siège de la représentation locale du PNUD, le 25 janvier 2011, afin de « faire reconnaître par les Nations Unies » le contre-gouvernement qu’ils avaient formé après une parodie de prestation de serment en tant que « président élu » par leur secrétaire exécutif.



"Cortège" anonyme avant le champ

En milieu de matinée dimanche 27 février, un convoi de véhicules aux vitres remontées quitte le siège du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) à Libreville, dans une discrétion à la limite de l’anonymat, malgré le drapeau de l’Onu qu’arborait le véhicule en tête du convoi.

A bord des autres voitures, des passagers très peu habitués à la discrétion, et pour cause: il s’agit des « enfermés volontaires du PNUDd», comme sont appelés depuis un mois ceux qui, membres de l’UN, avaient pris leurs quartiers dans la concession de l’ONU, tirant profit de l’extra-territorialité qui là caractérise.

De l’intérieur d’un 4x4, un visage collé à la vitre teintée, redécouvre l’air libre et réalise, comme les rares témoins de la scène, qu’il n’y a presqu’aucun spectateur pour ce dénouement à rebours de la «liesse euphorique ».

Et il en sera ainsi tout le long du trajet en direction de la résidence cossue d’un député des leurs, à la Sablière. Là-bas (et seulement là-bas), un autre dispositif, une autre ambiance : on se retrouve, on se donne l’accolade et, le temps de se réhabituer à la libre circulation, le champagne est servi

La vérité sur la fuite d'AMO

Mais que s’est-il donc passé, ces trente-deux derniers jours, pour qu’à une entrée qu’ils ont voulue triomphale, corresponde une sortie a minima ? Dès le 26 janvier, la représentation du PNUD au Gabon, tout en restant fidèle aux principes de protection et à l’esprit du droit d’asile, a commencé à se faire une idée précise des prétentions et du comportement de ceux qui avaient forcé leurs portes sans pour autant qu’ils remplissent les critères prévalant pour obtenir protection et asile

Au fil des jours, le siège du PNUD était devenu une cantine pour « opposants » de luxe.Traiteur le matin, traiteur le soir, pédicure et manucure, tout y est passé, au mépris du respect des lieux.

L’instruction onusienne de leur « dossier » ayant révélé la vacuité de leur posture, New-York décidait de clarifier les choses, mais en y mettant les formes. La gêne des maîtres de céans s’accroissait devant la possession des lieux, au point que les services du Pnud avaient été délocalisés en attendant le dénouement.

N’ayant pas voulu entendre raison, l’UN s’est clairement laissé dire par un émissaire du siège des Nations Unies dépêché pour la cause. Il était porteur d’un message clair: partir au plus tard le 28 février, sinon s’acquitter des charges : téléphone, eau, etc

L’argument a fait mouche. L’Union Nationale a déguerpi les lieux. Elle court le risque d’anomie, un comble pour des personnes qui se sont habituées à survivre dans les médias, et rien que dans les médias.

Source : UJPDGF

dimanche 27 février 2011

Communiqué publié à l’issue de la réunion trilatérale de haut niveau Siège des Nations Unies - New York - 24 et 25 février 2011

Communiqué conjoint publié à l’issue de la réunion trilatérale de haut niveau entre le Secrétaire général des Nations Unies, le Président de la République de Guinée Equatoriale et le Président de la République Gabonaise, Siège des Nations Unies, New York 24 et 25 février 2011
 
 
NEW YORK, 26 février 2011 — Le Président de la République de Guinée Equatoriale, Son Excellence M. Obiang Nguema Mbasogo, et le Président de la République Gabonaise, Son Excellence M. Ali Bongo Ondimba se sont réunis les 24 et 25 février 2011 au siège des Nations Unies à New York, à l’invitation du Secrétaire général des Nations Unies, Son Excellence Monsieur BAN Ki-moon, pour faire progresser de manière décisive le processus de médiation entre leurs deux pays. C’était la première fois que les deux Chefs d’Etat se rencontraient pour s’entretenir spécifiquement de la question.
 
La rencontre s’est déroulée dans un climat ouvert, cordial et constructif. Les deux Chefs d’Etat ont réaffirmé leur détermination commune de régler le différend qui oppose leurs deux pays, et de poursuivre, dans un climat de confiance et de respect mutuels, le développement d’une coopération conforme aux liens de fraternité qui unissent les peuples équato-guinéen et gabonais et aux intérêts communs des deux Etats.
 
Les deux Chefs d’Etat ont examiné, avec le Secrétaire général des Nations Unies et son Conseiller spécial et Médiateur du différend, M. Nicolas Michel, les progrès réalisés par la médiation depuis juin 2008. Ils ont relevé avec satisfaction les points d’accord importants déjà acquis et ils se sont entretenus sur les questions en suspens.
 
Les deux Chefs d’Etat ont réitéré leur volonté de soumettre leur différend à la Cour internationale de Justice, conformément au Document cadre de la médiation signé le 19 janvier 2009. Ils sont convenus de mettre tout en œuvre pour conclure la médiation le plus tôt possible.
 
Le Secrétaire général a réaffirmé l’engagement des Nations Unies à assister la République Gabonaise et la République de Guinée Equatoriale, conformément à leur souhait, dans leurs efforts visant à surmonter leur différend à l’amiable.
 
Son Excellence M. Obiang Nguema Mbasogo, Président de la République de Guinée Equatoriale, et Son Excellence M. Ali Bongo Ondimba, Président de la République Gabonaise, ont exprimé leur gratitude au Secrétaire général des Nations Unies pour son soutien et ses bons offices.
 
Il a été convenu que la médiation se poursuivra par une rencontre des délégations à Genève, les 29 et 30 mars 2011, sous réserve de tout autre arrangement convenu par les Parties sur proposition du Secrétaire général.

jeudi 24 février 2011

Des images d'archives prouvant que l'île Mbanié est gabonaise Pierre Mamboundou et Guy Rossantaga sont formels et le confirment

Séjournant depuis mardi 22 Févier 2011 à New-York dans le cadre du sommet tripartite (ONU-Gabon – Guinée Equatoriale) qui réunit les présidents autour du Secrétaire Général des Nations Unies les Présidents du Gabon et de la Guinée Equatoriale à propos du différend les opposant sur l’île Mbanié, le chef de l’Etat ALI BONGO ONDIMBA qu'accompagne une forte délégation a eu une séance de travail préparatoire avec la Commission nationale sur cette question avant la rencontre plénière qui devrait se tenir aujourd'hui.



Le Président de la République qui a reçu le soutien de toutes les forces vives de la Nations entend garder la position du Gabon quant à sa souveraineté sur l'Ile Mbanié.L'UJPDG-FRANCE vous propose de visionner trois vidéos qui tendent à démontrer que cette Île pétrolifère est bien la propriété du Gabon, avant de faire un tour d'horizon historique du litige :

Quand l'Histoire explique le présent :




Explications Techniques du Professeur GUY ROSSATANGA
"Mbanié est bel et bien une île gabonaise"



Le leader de l'opposition gabonaise PIERRE MAMBOUNDOU
sort de sa réserve et dit toutes ses vérités sur Mbanié


Rappel historique des faits

Depuis août 2003 lorsque le Canadien Yves Fortier, juriste international et ancien ambassadeur du Canada auprès de l’ONU, a été chargé de la médiation entre les deux pays du fait de la résurgence du démêlé. Yves Fortier a mené le dossier de 2003 à 2006, sans résultats

Cette médiation était purement diplomatique. Les instruments juridiques, les arguments de droit n’y avaient nullement été utilisés. Il s’agissait alors d’aider les deux parties à trouver une solution négociée à leur différend, une solution gagnant-gagnant permettant de sauver la face à l’une et l’autre des parties.

En 2008, avec l’arrivée de Ban Ki Moon aux Nations-Unies, celui-ci propose aux deux capitales une nouvelle négociation. Celle-ci comportait deux étapes : une étape diplomatique, de six mois à un an, faisant la continuité de la première médiation et visant toujours à trouver un arrangement. Et, une deuxième phase n’intervenant qu’en
en cas d’échec de la première. Strictement juridique, cette deuxième étape doit permettre la négociation et la conclusion d’un compromis juridictionnel. Ce qui signifie que les deux Etats doivent signer un traité permettant qu’ils soient jugés sur le plan international. Ce qui est presque fait. 

Le Blocage

En juin 2008, à l’ouverture des négociations à New-York, la Guinée Equatoriale demande de passer outre la première phase et d’aller directement à la deuxième. La conduite de cette médiation est alors confiée au suisse Nicolas Michel, ancien secrétaire général adjoint des Nations unies en charge des affaires juridiques. Elle se poursuit jusqu’à ce jour avec 90% de réalisation du traité. Il ne reste qu’un seul article objet d’un blocage depuis juillet 2010. Ce qui a amené le médiateur à suspendre temporairement les sessions de la médiation et à solliciter le Secrétaire général de l’ONU pour l’organisation du sommet qui aura lieu les 24 et 25 février à New-York, mettant face à face les deux chefs d’Etats et écartant pour un moment les experts en vue du déblocage de la situation pour la rédaction terminale du compromis juridictionnel.

Selon Guy Rossatanga Rignault, l’article premier de ce compromis juridictionnel comporte la question fondamentale que pose chacun des antagonistes au juge ou à la Cour dont ils vont reconnaitre la compétence. Chacune des parties doit en effet définir l’objet du litige. Plus simplement, elle formule, dans cet article 1, la question à laquelle elle voudrait voir le juge répondre. De la définition de cette question du litige dépendra tout le reste de la procédure. 

En substance, la Guinée Equatoriale demande "À qui appartient l’île Mbanié ?" Et Guy Rossatanga Rignault de marquer son étonnement : «Pourquoi, lorsqu’on est propriétaire d’un bien, demander si on est propriétaire de ce bien. Si on pose cette question, c’est qu’on doute soi-même de sa propriété. Or, pour ce qui concerne le Gabon, il n’y a pas de doute sur cette propriété qui est établie par le traité de 1900 et la convention de 1974 (voir 1ère vidéo)

Le Gabon n’accepte ni ne pose cette question. «Nous ne doutons pas que Mbanié est une île gabonaise. Nous n’allons pas demander à un tiers à qui appartient notre bien.» La question que pose le Gabon est celle-ci : « La convention de 1900 et celle de 1974 ne répondent-elles donc pas à la question posée par les Equato-guinéens ?»

Ceux-ci ne veulent évidemment pas de cette question, de même que la partie gabonaise ne veut pas de la question formulée par les Guinéens. «D’autant plus que, explique Guy Rossatanga Rignault, s’il s’agit de faire un pas l’un vers l’autre, c’est à celui qui conteste la souveraineté de l’autre de faire ce pas. Ce sont les Equato-guinéens qui ont un problème et non les Gabonais. Ce sont les Equato-guinéens qui ont voulu porter ce différend devant la Cour internationale de justice et pas les Gabonais. Ils doivent donc accepter d’aller à la Haye sur la base que nous posons, parce que nous, nous n’avons pas de problème. Mbanié n’est pas un problème gabonais, Mbanié est un problème guinéen.»

L’île problématique n’est distante que de 16 km de Bolokoboué (pointe terrestre gabonaise situé au Cap Estérias) et de 36 kms de l’aéroport de Libreville alors que son point le plus proche de la Guinée Equatoriale est à 66 kms d’elle.


Nouveaux tracés et pétrole


Un décret signé par le président Obiang Nguéma Mbazogho en 1999 fixe unilatéralement la frontière de son pays avec le Gabon. Ceci vient remettre en question le traité de 1900 complété par celui de 1974. Or, la coutume dans le droit international interdit à un Etat de fixer unilatéralement ses frontières. Celles-ci doivent être le produit de la rencontre de la volonté de deux Etats par le biais d’un traité. De plus, en redessinant unilatéralement leurs frontières, les Equato-guinéens ont tracé, à leur convenance, une courbe passant par le large de Cocobeach (Gabon) et de Libreville avant de gagner la haute mer à la frontière du Gabon et de Sao-Tomé et Principe. 


L’exposé de Guy Rossatanga Rignault révèle par ailleurs qu’en 50 ans d’exploration, personne ni aucune compagnie n’a jamais découvert la moindre trace d’huile sur ou autour de Mbanié. Il n’y a donc «pas une seule goutte de pétrole sur Mbanié.» Economiquement, la zone n’est que relativement poissonneuse. Alors que seuls les Etats insulaires sont autorisés à fixer leurs frontières à partir d’îles, la Guinée Equatoriale qui n’est pas un Etat insulaire, considère Mbanié comme la dernière partie de son territoire et a tracé sa frontière à équidistance entre cette île et le Cap Estérias. Le pays d’Obiang Nguema Mbazogho s’accapare ainsi un vaste espace couvrant la zone économique exclusive du Gabon entre le Gabon et Sao-Tomé. Il est à préciser que la zone exclusive économique commence à 250 km après la côte et l’île Mbanié se trouve à 16 km de la côte gabonaise, donc dans les eaux gabonaises.


Au début des années 2000, le ministère gabonais des Mines et du Pétrole a accordé un contrat d’exploration et d’exploitation sur le permis Igoumou à Shell Gabon. Cette compagnie a découvert par la suite qu’un concurrent américain dispose également d’un permis sur le même espace délivré par la Guinée-Equatoriale. Ce n’est qu’à ce moment que le Gabon se voit exhiber le nouveau tracé des frontières arbitraires de son voisin du Nord-est. Et ce n’est qu’à ce moment, selon Rossatanga-Rignault, qu’on commence à parler de pétrole dans ce différend. « S’il y a du pétrole, il se trouve entre Libreville et Sao-Tomé dans la zone économique exclusive du Gabon », souligne le chef du département juridique de la présidence de la République gabonaise.


Il faut garder à l’esprit que le Gabon se situe dans le golfe de Guinée qui compte 24 milliards de barils de pétrole de réserves et qui devrait devenir dans les prochaines années le premier pôle mondial de production en offshore très profond. La forte attractivité de cette région suscite des convoitises de plus en plus grandes de la part des pays consommateurs : des Européens, qui ont une influence traditionnelle dans la région, mais aussi, de plus en plus, des Américains et même des Chinois.
On est visiblement, là, en présence d’un litige pétrolier provisoirement occulté

MESSAGE DES JEUNES DU PDG AU CHEF DE L'ETAT 
Monsieur le Président de La République, votre Peuple est derrière Vous. La Nation gabonaise vous accompagne et vous soutient. Gardez la position de fermeté, car il est hors de question que notre souveraineté soit bradée au profit de la Guinée Equatoriale. L'Ile Mbanié nous appartient ! 


Source : UJPDG - France

mercredi 23 février 2011

Quand Amoyotte se dégonfle


Lu sur Gaboneco.com : 

« la formation du gouvernement parallèle d’André Mba Obame, un membre de l’Union nationale (UN, opposition) soutient qu’une dizaine de personnes a été arrêtée le 21 février, avant de souligner : « En fait, c’était un truc d’Internautes. Nous avons suivi ça pour voir un peu mais ce n’était pas un mouvement initié par l’Union nationale même si certains de nos militants y sont allés.»
 
Incroyable !!! Quelle lâcheté de la part du Parti des Non Utiles pour la Démocratie (alias les planqués du PNUD) qui exhortent leurs fanatiques, envoient les plus naïfs au feu, regardent ce qui se passe, si ça va marcher, espèrent même de la violence, alors qu’ils restent planqués, bien climatisés, bien nourris et finissent par dire que  ce  n’est pas de leur initiative et que "c’est un truc d’internautes !!! ". 

Tout cela ne trompe personne. 

Le fait est :
1- que votre grève n’a pas marché, 
2-que vous n’êtes pas suivis,
3- que nos frères et sœurs ne sont pas dupes de vos grossières manipulations.

A moins que pendant ce temps AMO soit en train de se repentir religieusement avec ses amis et évêques défroqués au sujet de l’Ile de M’BANIE qu’il voulait voir devenir en son temps l’Ile de M’BAMO en cherchant à la faire acheter par ses parents du Nord…

Décidemment Monsieur le roi de « M’BAMO et PNUD envahi » c’est encore raté. Vous me faites penser au coyote du dessin animé qui n’arrive jamais a attrapé cette fichu autruche car il est toujours en retard et ses ruses se retournent toujours contre lui car il n’est ni dans son temps ni dans la réalité. 

Le Monde change sans vous, le Gabon change sans vous Monsieur AMOYOTTE….

mardi 22 février 2011

JOURNEE DE GREVE AU GABON : 17 GREVISTES UN RECORD !


Il y a eu grève aujourd’hui au Gabon.

Les grévistes, qui ont rallié toutes leurs troupes et sympathisants étaient 17 dans l’enceinte du PNUD et quelques 4 à 5 badauds dans la rue.

Oui ils ont fait grève ce 21 février André langue de MBoa et compagnie.

Ils n’ont pas parlé de Mbanié.

Elle [La Compagnie] n’a pas lu Arlequin, ni fait pédicure et manucure.

Ils ont renoncé au caviar et au froid gras ce midi se contentant d’un saumon de la Baltique.

Ils ont refusé de lire les journaux.

Le dormeur ronfleur du groupe a fait grève de sommeil en se levant à 10h37....

Et ils se tournés les pouces toute la journée….

Bravo pour une journée ville morte, on en est mort de rire !

A quand la prochaine ??

lundi 21 février 2011

Découvrez AMO La marmotte : photos à l'appui

Chaque matin, parents et connaissances viennent toujours prendre les nouvelles de leurs héros retranchés. Il est 8 heures.

Dès 9 heures, le « président » MOA est déjà debout. Il sort toujours avant les autres pour venir signer, incognito, les autographes auprès de ses supporters. Sauf que ce matin-là, il ne pouvait le faire puisque l’encre de son stylo était finie la veille. Il va donc se contenter de faire un bisou à ce jeune soldat, qui chausse déjà les bottes. Mais il serait « salaud » de parler ici d’enfant soldat…


Premier à rejoindre le « président », John Nambo, le « ministre de l’intérieur » est là pour donner les dernières nouvelles du front. Participe à cette matinale réunion d’information : le futur « président de l’Assemblée nationale » Zacharie Myboto et le futur « président du Conseil économique et social » Jean Ntoutoume Ngoua. Pendant ce temps, l’aide de camp nettoie les lunettes du « président ». Il est 9h15.




10h00. Enfin, il est là, ce grand dormeur d’Eyeghé Ndong. Il paraît qu’il est le plus grand ronfleur du groupe et qu’il se lève toujours après les autres. Chaque matin, il a le reflexe de raconter ses rêves à ses compagnons. On ne sait pas si c’est le cas ici, mais à bien gegarder toute l’attention que lui porte le « président », ça a vraiment tout l’air.




Précision : le rituel de la terrasse matinale, c’est pour évacuer le stress de l’interminable attente du petit déjeuner de l’hôtel « Maïsha »


A l’intérieur, le « ministre de la Défense nationale » (en polo UN) n’attend pas les croissants pour peaufiner déjà ses grandes stratégies de bataille. Evidemment, ses généraux n’ont pas encore de treillis de combat, mais ce tombeur se débrouille assez bien pour assurer tendrement la « sécurité » de Chantal.





Quant au « ministre de l’Agriculture » (en bras de chemise), il veille aussi soigneusement que joyeusement sur sa nouvelle « plante », qui fait dodo sur le canapé à sa droite. On raconte qu’entre elle et lui, il se prépare une greffe imminente…

Comme on peut aisément le vérifier sur ces images, tout ce monde a pris du poids en quelques semaines. Preuve que le champagne et le caviar coulent vraiment à gogo au PNUD.


AMO la marmotte comme toutes les marmottes quand il leur est difficile d'assumer la température extérieure, se réfugie dans un terrier, se terre au fond de son trou. Tout le groupe familial hiberne ensemble dans la même chambre.
Plus c'est "chO" dehors, plus AMO la marmotte se réfugie au plus profond de son terrier, où elle passera la rude saison dans un état léthargique, la tête entre les cuisses, dos rond recouvert par sa queue.
La période d'hibernation des marmottes peut durer de longs mois, jusqu'au jour où notre marmotte pourra enfin sortir à nouveau son museau car son estomac et ses intestins se seront vidés ; et l'animal sortira amaigri de son hibernation.
Les gars, va falloir être patients, une fois qu'il aura épuisé ses réserves de provisions il sortira de son trou et là il s'expliquera sur Mbanié !
Reportage (presque) exclusif d’Alexis Bengone (Le Fils de Jean Eyeghe Ndong)
Sources : UJPDG-FRANCE/INFOSGABON