jeudi 24 novembre 2011

Robert BOURGI réagit contre les allégations de Mike Jocktane sur l'affaire des "Mallettes"

Communiqué de Presse de Robert Bourgi, en réaction aux allégations de Mike Jocktane au sujet des fameuses mallettes: "PARIS, France, 22 novembre 2011/African Press Organization (APO)/ J’ai eu connaissance d’une dépêche AFP datée de ce jour et évoquant une interview accordée par Monsieur Mike Jocktane aux deux auteurs du livre intitulé “Le scandale des biens mal acquis”.
Je tiens à préciser que durant toutes les années où j’ai eu à collaborer avec le Président Omar Bongo-Ondimba, je n’ai jamais vu, ni rencontré, Monsieur Mike Jocktane.

Je considère que ces allégations sont mensongères, diffamatoires et procèdent d’une manœuvre politique visant, d’une part, à jeter le doute sur la victoire légitime du Président Ali Bongo-Ondimba, et d’autre part, à troubler la bonne marche des relations franco-gabonaises.

Dans cette même dépêche, il est fait état d’une déclaration de Monsieur Michel de Bonnecorse, ancien conseiller Afrique du Président Jacques Chirac, qui, au cours de l’année 2010, a prétendu que j’avais remis des fonds au candidat Nicolas Sarkozy durant la campagne électorale de 2007, ces fonds provenant, toujours selon Monsieur de Bonnecorse, du Président Omar Bongo-Ondimba.
 
Je tiens à démentir de la manière la plus ferme qui soit ces propos de Monsieur de Bonnecorse qui ne reposent sur aucun fait probant et n’ont aucun fondement. C’est là le produit d’une imagination délirante.

Je trouve enfin curieux et étrange que Monsieur Jocktane fasse cette déclaration à la veille des prochaines élections législatives au Gabon, qui ont lieu en décembre 2011. 
 
Pour ce qui me concerne, je n’ai jamais douté, ne serait-ce qu’un seul instant, de la victoire du candidat Ali Bongo-Ondimba aux élections présidentielles de 2009. 
 
Le peuple gabonais est un peuple majeur, qui sait que la victoire électorale et politique passe par les urnes. C’est là, une vérité absolue que doit méditer Monsieur Jocktane
 
Source: Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Robert BOURGI."
Communiqué de presse de Madame Pascaline BONGO ONDIMBA, Ancien Directeur de Cabinet de Feu le Président Omar BONGO ONDIMBA

Dans un livre à paraître, M. Mike JOCKTANE, ancien Directeur de Cabinet Adjoint de Feu le Président Omar BONGO ONDIMBA, affirme que le Président Omar BONGO ONDIMBA aurait contribué au financement de la campagne du candidat Nicolas SARKOZY à l’élection présidentielle française de 2007.

Je voudrais, à cet effet, exprimer ma profonde indignation devant la légèreté de ces allégations, aussi grossières que mensongères et irresponsables.

Ayant été le Directeur de Cabinet du Président Omar BONGO ONDIMBA et Chef hiérarchique de M. JOCKTANE durant son éphémère service au Cabinet du Président de la République, je tiens à démentir formellement ces propos sans fondement ni connexion avec la réalité.

Il est bien entendu que M. JOCKTANE n’apporte et ne peut absolument apporter la moindre preuve à l’appui de ses allégations malveillantes dont le seul objectif manifeste est de nourrir la polémique et d’attirer l’attention sur sa personne.

Au demeurant, M. JOCKTANE, qui se fait appeler « Monseigneur », et qui se veut homme d’église, devrait s’en tenir à la vérité et respecter la mémoire de Feu le Président Omar BONGO ONDIMBA.

Je vous remercie.

Fait à Libreville, le 23 novembre 2011.

mercredi 16 novembre 2011

Incident diplomatique entre le Gabon et le Bénin : La Présidence béninoise présente ses excuses


A la suite de la campagne ordurière actuellement menée par certains médias béninois contre le Directeur de Cabinet du Chef de l'Etat gabonais, la Présidence de la République du Bénin a tenu à clarifier les faits, tout en présentant ses excuses à la Nation gabonaise ainsi qu'aux autorités mises en cause dans cette vendetta médiatique diffamatoire.

COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE DU BENIN

Le vendredi 11 novembre 2011, une mission en provenance du Gabon est arrivée par vol spécial conduite par le Directeur de Cabinet de Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République sœur du Gabon.

Le vol spécial est reparti à Libreville pour revenir le dimanche 13 novembre 2011 chercher le Directeur de Cabinet et sa suite qui étaient descendu à Cotonou.

C’est au retour de cet appareil que les services de sécurité de l’aéroport ont voulu procéder à un contrôle de l’aéronef et vérifier l’identité des personnes à bord. Ce à quoi l’équipage s’est opposé.

Au même moment, le passeport diplomatique du Directeur de Cabinet a été saisi au mépris des règles diplomatiques, des conventions internationales et des excellentes relations qui existent entre nos deux pays.

Informé de cet incident, le Président de la République a ordonné de libérer immédiatement l’appareil et de restituer le passeport. Malgré ces instructions, le Commissaire de l’aéroport a disparu des lieux avec le passeport, obligeant la délégation gabonaise à repartir au petit matin sans le document confisqué.

Malheureusement, cet incident a donné lieu à une intoxication, à de graves accusations mensongères et diffamatoires à l’encontre du Gabon allant jusqu’à ternir l’image de ce pays frère et de ses dirigeants.

Face à cette situation, le Président de la République présente au nom de son Gouvernement et du Peuple béninois toutes ses excuses à son frère et ami le Président Ali BONGO ONDIMBA, à son Directeur de Cabinet, à tous les membres de la délégation ainsi qu’au Peuple gabonais.

Une commission d’enquête a été mise sur pied pour situer les responsabilités.

Au regard de la gravité de la faute commise, le Commissaire Nazaire HOUNOUKPE, Commissaire de l’air et des frontières de l’aéroport international Cardinal Bernardin GANTIN est relevé de ses fonctions à compter de ce jour mardi 15 novembre 2011.

S’agissant du journal, une procédure en diffamation sera immédiatement engagée devant les juridictions compétentes.


Edouard A. OUIN OURO
Secrétaire Général de la Présidenc

mardi 15 novembre 2011

L'UJPDG-France recadre la presse française qui s'en prend au chef de l'Etat


Communiqué de Presse de l'UJPDG-FRANCE:

Ça y est! La presse sensationnaliste française  semble avoir repris du service en s’adonnant de nouveau à sa marque de fabrique favorite : importuner des Chefs d’Etat d’Afrique NOIRE, avec une particulière préférence pour celle du centre pétrolifère! A la fois malfaisante et tendancieuse, la campagne menée au gré des humeurs, accointances et inspirations de quelques organisations bien pensantes, moralisatrices à souhait ici en France à l’encontre de ces dirigeants africains sous le thème des « biens mal acquis »,  connaît une recrudescence ces derniers jours avec en ligne de mire  le Gabon et son Président Ali BONGO ONDIMBA sous diverses formes.


On démarre avec le père, une fois qu’il n’est plus de ce monde, on fait le procès de la famille, aujourd’hui celui de l’enfant le plus en vue par ses fonctions et avec l'invention d'un nouveau délit : le délit de filiation et de patronyme  tout en s’érigeant en apôtres de la défense des droits de l’Homme et de la démocratie.
 
Les Jeunes de l'UJPDG-FRANCE voudraient rappeler aux petits journaleux franchouillards et acculturés de la presse parisienne, qu’ils leur sauront gré de bien vouloir commencer par  nettoyer  le poussiéreux paillasson de la maison France avant de s’en prendre au petit portillon du village  Afrique Centrale en général et du petit Gabon en particulier, lequel vole désormais de ses propres ailes depuis le 17 Août 1960.

En effet, nous remarquons qu’ au moment où le peuple gabonais s’emploie à rédiger une nouvelle page de son histoire en vivant de plein pieds le changement, au moment où les questions de bien-être social, de révolution des mentalités, de développement infrastructurel sont au cœur des priorités du Président ALI BONGO ONIDMBA, qui, toujours un peu plus près de ses populations leur apporte des solutions concrètes, les journaleux de la France à Fric s’attachent à noircir le tableau, à diaboliser l’homme et à nier les faits.

L'UJPDG-FRANCE voudrait également réitérer qu’aujourd’hui l’Afrique n’a plus à se faire juger ou critiquer par les rejetons de ceux là même qui sont au cœur de ses échecs. Au nom de quoi ou de qui le Gabon doit-il recevoir des leçons de personnages de petite vertu à l'infertilité intellectuelle inquiétante, qui sont eux-mêmes à l’origine des plus grands scandales de ces dernières années ? Souffrez que nous vous rappelions que les crises financières et triples A qui se volatilisent, les trafics d’influence à haute échelle, les affaires de mœurs, la destruction à tout va de la planète et les guerres injustifiées ne viennent pas de notre Continent !
 
Depuis le 16 Octobre 2009, date désormais bien connue de tous, le Gabon se conjugue en réformes et chantiers visibles, en résultats aussi.

Le Président Ali BONGO ONDIMBA ne ménage aucun effort pour voir le quotidien de ses compatriotes s’améliorer. Or, cela ne semble ni ravir certains médias aux ordres, ni certains pays qui voient d’un mauvais œil la diversification des partenaires du Gabon que le Président Nicolas SARKOZY avait d'ailleurs approuvé dans son allocution du 22 Février 2010 à Libreville, ni même des individus ne trouvant plus leurs comptes dans le nouveau mode de Gouvernance du Gabon, c'est-à-dire un Gabon nettoyé des myrmidons et reliques de la « France à Fric » !

En ce qui concerne le Président de la République  Ali BONGO ONDIMBA, nul ne peut rapporter la preuve d’un seul bien prétendu mal acquis, pas un seul! Au-delà de lui, certaines attitudes frisent la condescendance : que n’a-t-on entenduTel Chef d’Etat Africain a une Mercédès et alorsN’est ce pas possible ? Avez-vous simplement idée du nombre d’Africains propriétaires immobiliers ou de grosses cylindrées  en Europe, aux USA et dans le monde? Tel Chef d’Etat a acheté tant de costumes à tel prix, et alors??? Autrement dit pour reprendre une expression camerounaise : « Est-ce que quand je porte mon caleçon ça vous serre ???. »

Si en effet, Africain rime automatiquement avec pauvreté, et avec voleur lorsqu’il a des richesses, il n’est pas étonnant que certains clichés et préjugés perdurent. Mais au juste, de quel droit vous, petits journaleux du Canard Enchainé, du Nouvelobs ou associations dites de lutte contre la corruption, vous sentez-vous devenir  des mandataires autoproclamés pour ester en justice en lieu et place des Africains eux-mêmes ? Cela s’appelle du paternalisme de mauvais aloi.
 
Bien Mal acquis pour Biens Mal Acquis que dire de la spoliation du continent qui, tout en regorgeant des plus importantes ressources naturelles du globe se trouve en queue du développement économique et social ? Les BMA  c’est selon… Quand un certain avocat célèbre, fait son mea culpa de transporteur de valises et djembés à la face du monde, ces prétendus défenseurs de l’orthodoxie et de la morale au nom et en substitution aux pauvres petits africains, adoptent la politique de l’autruche et un silence pour le moins étonnant! 
Alors messieurs entre nous, qui-est-ce qui se cache derrière cette volonté sans cesse grandissante de décrédibiliser le Président de la République Gabonaise, de nier ses efforts, d’oblitérer sa relation avec son peuple, et surtout de vous accaparer le droit souverain du peuple gabonais de juger ses dirigeants? Ce même peuple qui d’ailleurs, ira à l’unissons le 17 Décembre prochain lui offrir une  écrasante majorité à l’Assemblée Nationale, laquelle viendra à son tour faire taire les détracteurs et les prophètes du chaos, tout en  rappelant à qui le voudra, que les Etats africains sont souverains.


Il est peut-être plus facile de se perdre en conjectures que de s’attaquer à des aveux. Le Gabon en ce qui le concerne fera face à toute campagne pernicieuse d’où qu’elle vienne. Ce qui nous intéresse c’est de nous inscrire dans la dynamique d’un continent qui progresse malgré les vicissitudes et injustices de l’histoire avec une croissance moyenne et soutenue d’au moins 5% par an au cours des dernières années.   Ce qui nous intéresse c’est de continuer à engranger les succès diplomatiques et économiques avec des actions et décisions concrètes qui indiquent que les sillons de « l’Avenir en partage » se tracent résolument.  

Avec Ali BONGO ONDIMBA, le Gabon s’est engagé à mettre en place les facteurs irréversibles de développement : les infrastructures routières, l’énergie et le capital humain. Il a su avec lucidité et courage faires sienne la maxime selon laquelle « un Etat a des intérêts » en prenant la décision d’arrêt d’exportation des grumes et d’une nécessaire première ou seconde transformation locale, en faisant entrer le Gabon dansle capital d’ERAMET, en décidant, outre l’élaboration de nouveaux codes minier et pétrolier, de la création de la Société nationale des hydrocarbures , de l’arrêt du torchage du gaz, d’une nouvelle politique énergétique et de la création d’une société de gestion et de patrimoine, du partenariat avec Bechteldans le cadre de l’Agence Nationale  des Grands Travaux, de la mise en place  d’un Fonds National  Souverain et plus récemment d’une nouvelle politique de couverture sanitaire et d’habitat.  

L’option du Président Ali BONGO ONDIMBA porte la marque des nouveaux dirigeants, d’un nouveau partenariat, du co-développement et se heurte aux vicissitudes et vestiges de cercles groupusculaires, celle de la mafia conspiratrice derrière ses rideaux de fumée pour reprendre une  expression révélatrice, de Pierre Péan.  

En France,  l’opinion publique comprendra qu’il faille aujourd’hui moraliser tout ce qui était immoral hier et que tout comme la France, les autres pays en développements puissent aspirer à la gouvernance et à l’émergence. Si, le reproche commun et dominant est la constitution de patrimoines mobiliers et immobiliers faramineux par des dirigeants dans les pays occidentaux, sur la base de l’extorsion des fonds publics de leur pays et populations appauvries, l’information exacte doit prévaloir sur le lynchage médiatique et la condescendance.

 Les scandales,  lorsqu’ils sont établis, d’un bord à l’autre de la Méditerranée et du Sahara, doivent être dénoncés et punis. Tous les scandales sans exclusive, indépendamment de l’exercice ou non de certaines fonctions ou de la posture du moment.  

Au sein d’une opinion publique, d’une action politique et d’une démarche économique qui devient de plus en plus internationale, la question n’est pas sans importance de voir ainsi livrées en pâture des personnalités qui effectuent depuis des années le juste combat de la survie de leurs Etats mais encore plus à l’encontre d’un dirigeant , symbole du nouveau leadership et de la nouvelle génération comme Ali BONGO ONDIMBA.
Elle engage en effet, non seulement leur réputation en tant qu’individu, mais plus encore, la capacité des peuples qu’ils représentent à exister dans l’âpre bataille que se mènent les nations, pour obtenir le plus de prospérité matérielle, la plus grande extension de libertés et le plus grand rayonnement culturel et social pour leurs peuples. Au Gabon c’est tout le sens du pilotage par la vision pour aller vers l’émergence, le développement, le partage dans la paix, l’unité et la cohésion nationales.
 
Messieurs, Libérez le passage aux Gabonais, ils veulent AVANCER !    

Fait à Paris le Lundi 14 Novembre 2011    

L'Union des Jeunes du Parti Démocratique Gabonais de France