mercredi 29 février 2012

Le nouveau gouvernement du Gabon est formé !!


Le nouveau gouvernement de mission mis en place le 28 février 2012 dirigé par le Premier Ministre Raymond NDONG SIMA se compose de 16 ministres et 12 ministres délégués avec un total de 8 femmes dont 3 à des postes clés. 
Il s’illustre par la cohérence de sa structure avec la vision du Gabon Emergent du Chef de l’Etat, S.E. Ali Bongo Ondimba qui a voulu que chaque pôle ministériel prenne en charge un pan précis du Plan Stratégique du Gabon Emergent.
Le nouveau gouvernement se caractérise également par un renouvellement profond de l’équipe gouvernementale, au moins de moitié, une réduction de sa taille, une bonne représentation nationale et le souci de privilégier la compétence et le mérite.
PREMIER MINISTRE, CHEF DU GOUVERNEMENT :
Raymond Ndong Sima
MINISTRES 
Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, des Droits Humains et des Relations avec les Institutions Constitutionnelles, Porte Parole du Gouvernement 
Madame Ida RETENO ASSONOUET
Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Internationale, de la Francophonie,
Chargé du NEPAD et de l’Intégration Régionale 
Monsieur Emmanuel ISSOZE NGONDET 
Ministre de la Santé 
Monsieur Léon NZOUBA 
Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage, de la Pêche et du Développement Rural 
Monsieur Julien NKOGHE BEKALE 
Ministre de la Promotion des Investissements, des Travaux Publics,
des Transports, de l’Habitat et du tourisme, chargé de l’aménagement du territoire 
Monsieur Magloire NGAMBIA 
Ministre de l’Economie Numérique, de la Communication, et de la Poste 
Monsieur Blaise LOUEMBE 
Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et Technique
et de la Formation Professionnelle, Chargé de la Culture, de la Jeunesse et des Sports
 
Monsieur Séraphin MOUNDOUNGA 
Ministre des Eaux et Forêts 
Monsieur Gabriel NTCHANGO 
Ministre des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Artisanat et du Commerce 
Monsieur Fidèle MENGUE M’ENGOUANG 
Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique, de l’Immigration et de la Décentralisation 
Monsieur Jean François NDONGOU
Ministre de la Défense Nationale 
Monsieur Pacôme Rufin ONDZOUNGA 
Ministre de la Famille et des Affaires Sociales 
Madame Honorine NZET BITEGHE 
Ministre de l’Industrie et des Mines 
Monsieur Regis IMMONGAULT TATAGANI 
Ministre de l’Economie, de l’Emploi et du Développement Durable 
Monsieur Luc OYOUBI 
Ministre du Budget, des Comptes Publics et de la Fonction Publique 
Madame Christiane Rose OSSOUCAH RAPONDA 
Ministre du Pétrole, de l’Energie et des Ressources Hydrauliques 
Monsieur Etienne NGOUBOU

MINISTRES DELEGUES
Ministre Délégué auprès du Premier Ministre, Chargé de la Réforme de l’Etat 
Monsieur Calixte ISIDORE NSIE EDANG 
Ministre Délégué auprès du Ministre des Affaires Etrangères, Chargé du NEPAD et de l’Intégration Régionale 
Monsieur Dominique NGUIENO 
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage, de la Pêche et du Développement Rural 
Madame Célestine OGUEWA BA 
Ministre Délégué auprès du Ministre de la santé 
Madame Alice BIKISSA NEMBE 
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Intérieur, Chargé de la Sécurité 
Monsieur Aimé-Popa NTZOUTSI MOUYAMA 
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Economie Numérique, de la Communication et de la Poste 
Madame Françoise ASSENGONE OBAME
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle Chargé de la Culture, de la Jeunesse et des Sports 
Monsieur Ernest WALKER ONINWIN 
Ministre Délégué auprès du Ministre du Budget, Chargé de la Fonction Publique 
Monsieur Raphaël NGAZOUZET 
Ministre Délégué auprès du Ministre de la Promotion des Investissements, Chargé des Transports 
Monsieur Jean Emmanuel BIE 
Ministre Délégué auprès du Ministre de la Promotion des Investissements, des infrastructures, Chargé de l’Habitat 
Madame Christiane LECKAT 
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur, Chargé de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle 
Madame Paulette MOUNGUENGUI 
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Economie de l’Emploi et du Développement Durable 
Monsieur Désiré GUEDON

mardi 28 février 2012

Nomination du Nouveau Premier Ministre du Gabon !


Communiqué de Presse par l'UJPDG-France faisant suite à la nomination de Monsieur Raymond NDONG SIMA aux fonctions de Premier Ministre, Chef du Gouvernement. 


Communiqué de Presse



Nomination d’un nouveau Premier Ministre à la tête du gouvernement gabonais 



Suite à la nomination en ce jour d’un nouveau Premier Ministre à la tête du gouvernement gabonais en la personne de Monsieur Raymond NDONG SIMA,  l’Union des Jeunes du Parti Démocratique Gabonais de France tient à saluer l’arrivée d’un homme de grande qualité, connaissant la gestion de la chose publique et en phase avec le profil énoncé par le Président de la République pour diriger ce Gouvernement.

L’UJPDG-France ne peut que lui adresse ses vœux de plein succès dans ses nouvelles missions, ô combien importantes, tout en lui assurant  de son soutien indéfectible.

D’autre part nous tenons à féliciter et remercier Monsieur Paul BIYOGHE MBA pour sa conduite du gouvernement gabonais depuis 2009, les différents chantiers engagés et la dynamique impulsée aux côtés du Chef de l’Etat. Un homme politique et  grand commis d’état de son rang demeure, quelque soit la forme et les conditions, une source intarissable de conseils et d’orientations au service de la nation.

A Monsieur Raymond NDONG SIMA nous tenons à lui exprimer la volonté du peuple gabonais en général et des jeunes du parti démocratique gabonais de France en particulier de voir la mise en œuvre du projet « l’Avenir en Confiance » du Président de la République Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA connaitre une accélération et une effectivité dans chacun des 9 axes et des trois piliers qui fondent la vision d’un Gabon Emergent à l’horizon 2025.
  
Rappelons que Monsieur le Premier Ministre Raymond NDONG SIMA, âgé de 57 ans et originaire de la province du Woleu-Ntem est titulaire d’un Diplôme d’Etudes Approfondies en économie, option économie mathématique et économétrie obtenu à l’université Université Paris IX Dauphine en 1982. Il a assuré à plusieurs reprises des hautes fonctions telles que Directeur Général de l’Economie au Ministère de la Planification et de l’Economie (1992-1994), Directeur Général de la Société Nationale d’Hévéa culture- HEVEGAB (1994-1999) ou encore Président Directeur Général de la Compagnie d’Exploitation du Chemin de Fer- Transgabonais (2001).

Jusqu’à sa nomination, le nouveau Premier Ministre occupait les fonctions de Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage, de la pêche, et du Développement Rural. Député du Parti Démocratique Gabonais du 3ème siège du département du Woleu, Monsieur Raymond NDONG SIMA est par ailleurs un acteur économique dans le domaine des transports et reconnu comme proche des préoccupations des populations.

Fait à Paris le 27 février 2012


Le Bureau Fédéral de l’UJPDG France

lundi 27 février 2012

La Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille forme les acteurs de la société civile


L’esprit d’équipe ou encore la dynamique de groupe, ce sont des notions qui prennent de plus en plus corps dans la société gabonaise, brisant progressivement les barrières et réduisant de façon considérable les pesanteurs qui, pendant de longues années, ont souvent mis à mal les efforts de progrès dans notre pays.

La Première Dame, à l’instar de son époux lors de l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations Orange 2012, a tenu à apporter une touche humanitaire à la fête du football africain en s’investissant dans la lutte contre le VIH/sida. La « CAN sans sida » a ainsi permis une sensibilisation à grande échelle des populations, surtout des jeunes. Cette campagne de sensibilisation, qui a vu la participation des grands noms du sport tels que Samuel Eto’o et le roi Pelé en personne, est enfin terminée.

Cependant, il faut coûte que coûte éviter de baisser la garde. C’est pourquoi le souci de développer à l’échelle nationale des relais communautaires efficaces a conduit l’épouse du chef de l’Etat à relancer le processus de formation des acteurs de la société civile. Ces derniers, engagés auprès des personnes les plus faibles et les plus vulnérables, ont grandement besoin de maîtriser les approches, la pédagogie et les outils indispensables à l’amélioration des conditions de vie des populations. L’atelier organisé cette semaine par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille s’inscrit dans cette optique : permettre aux associations et aux ONG, qui sont des moteurs d’activités sur le terrain, de mieux maîtriser la conception, la mise en œuvre et le suivi des projets. La lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose, le combat pour la préservation de la biodiversité et de l’écosystème, la gestion responsable des ordures en milieu urbain, ce sont des activités qui nécessitent bien souvent de sérieuses compétences, ainsi qu’une importante mobilisation des ressources techniques, matérielles et financières. Or, les organisations de la société civile, dont les membres sont, pour la plupart, issus des milieux pauvres, ne peuvent réussir le défi d’inverser les tendances que si elles disposent de moyens appropriés. L’acquisition de ces ressources passe par une bonne maîtrise des mécanismes de gestion des projets et des connaissances sûres pour convaincre les bailleurs de fonds.

Pour ne pas faire les choses en amateur, la Première Dame, par sa fondation, a fait appel à des spécialistes internationaux chevronnés, à l’instar du Français Julien Gonnet, chargé de projet au sein du groupe Rongead. L’expert s’est donc appliqué à fournir aux membres de la vingtaine d’associations inscrites au programme les rudiments indispensables à la réalisation des projets : les outils d’investigations, la rédaction du document de projet, le suivi et l’évaluation…

Les participants au séminaire atelier ont dit toute leur satisfaction d’acquérir ces connaissances qui leur donnent l’opportunité de conduire leurs associations vers une professionnalisation certaine. Ils espèrent ainsi devenir, grâce à cet appui de Mme Sylvia Bongo Ondimba, des acteurs plus outillés. Cette série de formations, qui a débuté il y a près de six mois, va se poursuivre pour aider les mouvements associatifs, sur toute l’étendue du territoire, à être les partenaires incontournables de l’Etat dans la lutte en faveur du bien-être des communautés et des familles au Gabon.

Auteur : Willy NDONG ONDO

jeudi 23 février 2012

Quand le Griot Migrateur OVONO Lambert Petit Crie famine en menaçant de mort le Président Ali BONGO ONDIMBA


Encore une loque qui n’a rien compris ou mieux toujours le même qui n’a encore rien compris. En effet, voilà qu’un de ces grands théoriciens des complots internationaux sûrement commandités par la "NASA" remet les couverts pour nous dire qu’il y’aurait un soit disant grand complot anti-fangs au Gabon. 
C’est à travers les lignes d’un amphigouri chiffon de garage,  aussi déplorable qu’enfantin, qu’on peut lire le cri d’alarme d’un être « Lustucru » qui n’accèdera jamais aux fonctions dont il rêve et se cache derrière une couverture ethnique à peine assumée, pour évoquer sa propre histoire qu’il veut transformer en généralité.

Ainsi, l'hurluberlu de petite nature, le bien nommé « Petit » OVONO,dont le seul prénom traduit à la fois sa petite taille que  la petitesse de son esprit, nous dévoile dans une sorte de  litanie injurieuse, son objectif de transformer l’Administration gabonaise en un « clergé ethnique » au service d'une communauté, afin de récupérer des postes qui  font sans doute saliver son appétit vorace  et abyssal du pouvoir et de l’argent. 

Du Trésor à la douane, du budget aux impôts, voilà qui perturbent les nuits de ce compatriote jadis éphémère conseiller du défunt Président Omar BONGO ONDIMBA,qui fut balayé de la Présidence par le Tsun'ali de 2009 pour son abandon de poste dévoilé après les très  fructueuses conclusions de l' audit de la fonction publique  l'année suivante, rejeté par ses "frères" d'adoption Bitamois en raison de ses origines douteuses (puisqu’il serait en réalité un équato refoulédu village  d’Ebébéyine),  tout comme son mentor, l’albatros de Medouneu.Bref.

Comment tordre la réalité à un tel point ? Comment avoir une telle méconnaissance de la gestion de la chose publique et des valeurs qui ont permis au Gabon de survivre à tous les cataclysmes détonants du continent africain ?

Imaginez-vous  donc que ce soient  ces petites gens  aux intentions ignominieuses  qui caressent le  rêve d’assumer le pouvoir dans notre pays, mais au juste  pour le guider vers quoi,si ce n’est la déchéance totale, l’ethnisation de la chose publique, la concentration du pouvoir en des mains infertiles qui ne portent que le signe de la jalousie et de la soif du matériel, tellement le désert intellectuel qui les habite n’a pour comparable que les gargouillements de leurs ventres affamés ?

Quand ce n’est pas un « génocide à la rwandaise » qu’on nous promet au lendemain de l’élection présidentielle de  Septembre 2009, c’est un coup d’état à la nigérienne en Mars 2010, et aujourd’hui des menaces  de mort contre le Premier Magistrat de la République !

Quel est donc  ce gabonais qui, au moment où la Nation entière entonne les refrains de l'Unité, du bon Vivre Ensemble, de Paix, de Partage  et du Sursaut Patriotique (tel qu' exprimé lors de la CAN 2012 dans notre pays), peut encore arborer publiquement  la soutane du ridicule  pour soutenir et défendre de telles hérésies sans aucune honte ?

Est-ce parce que son employeur est un « professionnel du ridicule », que ce « Petit » personnage met en veilleuse l'usage de ses « neurones » pour  rédiger des  torchons à l' image de sa pensée, ou est-ce plutôt parce que son cerveau semble désormais atteint par la ménopause? Est-ce l'explication de sa soudaine palinodie contre le PDG dans lequel il s’est pourtant servi avec gourmandise, d'abord en qualité de membre du Comité Central après avoir séjourné plusieurs années dans le RNB, avant de réussir son coup de maître en se faisant parachuter Conseiller (sans attribution) du défunt président Omar BONGO ONDIMBA?

Sachez  cher Monsieur le « Petit », que le Gabon, porté aujourd’hui par son Président de la République Ali BONGO ONDIMBA que vous osez menacer de mort, est un Gabon pour Tous, sans distinction d’âge, d’ethnie ou de genre, et où seuls la compétence et le talent des méritants ont résolument pris le pas sur la République des passes-droit et des privilèges ethnocentriques!!

Sachez aussi Monsieur le "Petit", qu’au Gabon ce n’est pas sur une base arithmétique  d’être soi-disant 40%  de la population que l’on gagne une élection!Votre raisonnement est sibyllin, totalement abscons et  même suranné !

Nous le comprenons aisément puisqu’en menant une vie de valétudinaire et de pauvre hère en France, vous avez décidé de jouer les panégyristes de celui que vous cataloguiez dans un passé encore récent, comme étant le Prince des Ténèbres ! Si vous avez perdu l’usage de la honte, ayez au moins pitié de vous et de vos enfants !

Les espèces humaines en voie de disparition comme la vôtre monsieur le "Petit", ne servent nullement leur communauté ethnique par de tels propos aux relents tribaux. Heureusement d'ailleurs que vous êtes loin de représenter les 40% de la communauté Fang, car vous n’êtes qu’un imposteur niais, un imposteur intellectuel et un imposteur de la société civilo-politique au  nom de laquelle vous croyez parlez.Au Gabon nous sommes Unis et Indivisible, qu'on soit  Fang, Orungu, Téké ou toute autre, mais gabonais avant tout !

Un conseil tout de même, si vous ne souhaitez guère voir déballer sur la place publique les vraies raisons de votre auto-exil en France ainsi que les secrets de votre prostration, vous gagnerez fortement en faisant profil bas, en faisant  de votre prolixité verbale, un usage moins ubuesque en là mettant  au service de la République, et non au service d’un homme, ou d'une cause communautariste!

Ce n’est pas la première fois que vos interventions se distinguent par leur caractère surréaliste, mensonger, partisan et ethnique, mais dans le même temps,  quelque soit le temps passé dans un marigot la branche n’en devient pas plus un caïman, dit-on !

Pour vos menaces et insultes envers le Président de la République, nous laissons le soin aux hommes de Droit et de Loi de vous préparer une réponse judiciaire ! 

Auteur:Mvé Ebang Junior, Akagha Mba Darius, Philomène Akanda 
Sources: La jeune garde

mercredi 8 février 2012

Un invité de marque, l'homme aux plus de 1000 buts, 3 fois champion du monde : le "Roi" Pelé est arrivé au Gabon sur invitation du Président de la République ! Quelle formidable surprise d'accueillir ce prestigieux hôte de la République Gabonaise qui rend ainsi hommage à tous les efforts réalisés au Gabon pour accueillir dignement la CAN 2012.

Il paraît qu'une star mondiale du football, invitée d'honneur du Président de la République, sera présente ce soir à la demi-finale opposant la Côte d'Ivoire et le Mali.
Selon vous, de qui s'agit-il ? Maradona ? Zidane ? Pelé ? Ronaldo ? A qui pensez-vous ?
Rendez-vous ce soir au stade de " l'Amitié Sino-Gabonaise" pour la découvrir et applaudir ce soutien de marque, qui fait honneur aux efforts déployés par le Gabon pour garantir le succès complet de la CAN 2012 !

lundi 6 février 2012

Coupe d’Afrique des Nations : derrière le football, un Gabon Emergent



Il l’avait promis, il l’a fait ! En 2009, alors qu’il était encore candidat à l’élection présidentielle, le Président Ali Bongo Ondimba faisait part de sa profonde volonté de réaliser un rêve pour l’ensemble des Gabonais : accueillir au Gabon la Coupe d’Afrique des Nations 2012. 





Aujourd’hui, ce rêve est devenu réalité. Le Gabon co-organise avec la Guinée Equatoriale la 2ème édition de la CAN, et son équipe nationale, les formidables Panthères, vient de se qualifier pour les quarts de finales sans perdre aucun match !



Au-delà du sport et de la ferveur qui a gagné tout le Gabon pour soutenir les Panthères, c’est un programme de développement ambitieux qui a été réalisé à l’occasion de cette grande fête du football africain.

>> Voir la vidéo "L'émergence et la CAN".

Les infrastructures sportives


Deux stades de compétition ont été construits ou rénovés pour accueillir les matches de la CAN au Gabon : le stade de l’Amitié sino-gabonaise à Libreville, d’une capacité de 40 000 places, et le stade de Franceville, d’une capacité de 20 000 places. Après la CAN, ces stades pourront également être le lieu de manifestations sportives et culturelles de grande envergure !


Cinq stades d’entraînement d’une capacité de 500 places ont également été érigés pour la préparation des équipes sélectionnées, notamment à Mbaya, à Nzeng-Ayong, à Sibang…

Après la CAN, les stades d’entraînement, entièrement neufs, seront mis à la disposition de la jeunesse gabonaise. Ainsi, le stade et la résidence de Nzeng-Ayong seront utilisés par la Fondation Samuel Eto’o pour la formation des jeunes.

La formation et l’emploi


Les centres des volontaires de la CAN ont ouvert leurs portes le 10 janvier à Libreville et à Franceville. Pas moins de 1000 jeunes bénévoles ont en effet été recrutés et formés pour intervenir dans des domaines aussi variés que l'accueil, la communication, l'hébergement et la restauration ou encore la logistique. Au terme de la compétition, chacun d'entre eux recevra un certificat de participation.



La CAN, c’est aussi la création d’emploi dans de multiples secteurs d’activité. Rien que pour le secteur de la santé, on dénombre :
  • 480 postes de secouristes créés ;
  • 50 médecins formés à l’utilisation du Défibrillateur Semi Automatique (DSA) ;
  • 50 personnes ayant suivi un séminaire sur la médecine et la traumatologie du sport ;
  • 20 médecins formés à la médecine d’urgence et « de catastrophe » ;
  • 17 personnes formées et 4 personnes accréditées pour lutter contre le dopage.
Mais c’est aussi 400 emplois directs créés à long terme dans les domaines de la restauration et de l’accueil ou encore la formation de personnel pour la mise en place des mécanismes de sécurisation de l’événement sportif.

Le transport et la logistique


Un total de 900 000 spectateurs est attendu dans les stades gabonais et guinéens pour applaudir les meilleures équipes du football africain. Des mesures draconiennes ont été prises pour permettre les déplacements de ces joueurs tout au long de la compétition :
  • L’élaboration d’un plan général de transport à Libreville et Franceville ;
  • La mise en place d’un partenariat avec la Société Gabonaise de Transport (Sogatra) pour la mise à disposition de 50 bus ;
  • La dotation de 36 nouveaux bus à la Sogatra par l’Etat gabonais, dont 10 ont été affectés aux délégations de la CAF et aux équipes participantes, le reste étant réservé au transport urbain des Gabonais et des supporters.
  • L’acquisition d’une flotte de véhicules légers pour les officiels et les invités ;
  • La mise en place d’un partenariat avec la Société d’Exploitation du Transgabonais (Setrag) pour l’acheminement du fret ;
  • La location de trois avions Boeing pour faciliter les déplacements des supporters entre Libreville et Franceville et entre le Gabon et la Guinée Equatoriale ;
  • L’aménagement des structures aéroportuaires, par exemple la construction d’un nouvel aéroport à côté du stade d’entraînement de Moanda ;
  • Un visa unique a été mis en place pour pouvoir voyager librement entre le Gabon et la Guinée Equatoriale pendant toute la durée de la CAN.
L’hébergement et l’hôtellerie


L’offre gabonaise en termes d’hébergement, d’hôtellerie et plus largement d’infrastructures touristiques s’est également vue renforcée dans l’optique de la Coupe d’Afrique des Nations et du flux de visiteurs qui l’accompagne.

4 500 chambres à Libreville et 1 600 dans la province de Franceville ont donc été identifiées pour l’événement et les plus grands hôtels de ces deux villes ont été réquisitionnés. Tous répondent évidemment aux normes internationales de la FIFA. Du personnel hôtelier a, en outre, été recruté pour les nouveaux hôtels et une convention de formation et de gestion a été signée avec le groupe international ACCOR pour le renforcement de la qualité du service dans les hôtels gabonais.

Des résidences ont également été construites pour accueillir les équipes à proximité des stades d’entraînement. Ces résidences, équipées chacune de 50 chambres, d’un restaurant, d’une piscine, d’une salle de sport et d’une salle de santé et disposant d’un personnel qualifié et dynamique, seront placées après la CAN sous la tutelle du Ministère de l’Economie et du Tourisme et participeront au développement du secteur écotouristique du Gabon.

Au niveau de la restauration et de l’accueil, 400 emplois directs ont été créés à long terme et des chefs de cuisine ont été formés à la création des menus des restaurants.

La santé


En plus de la formation du personnel médical évoquée plus haut, le secteur de la santé a bénéficié d’un large renouvellement de ses infrastructures afin d’assurer la couverture sanitaire de tous les acteurs de la CAN sur les sites de compétitions, d’entraînement et d’hébergement. Trois exemples :

- Dans le Haut-Ogooué, un nouveau centre de santé a été construit à Bongoville. Ce centre comprend un bloc opératoire ; une salle de réveil ; une salle d’accouchement, une maternité, un laboratoire complet  ainsi que des services d’urgences, de consultation générale, de radiologie, de stomatologie, d’ophtalmologie, de pédiatrie et de chirurgie.



- Toujours dans la province de Franceville, les services de l’Hôpital Amissa Bongo ont été renforcés pour la CAN, notamment l’imagerie (radiologie et scanner) et les soins intensifs. L’hôpital s’est également doté de nouveaux équipements tels que des défibrillateurs, des moniteurs de surveillance, de nouveaux respirateurs ou encore de nouveaux lits. Autre nouveauté, il dispose désormais d’un héliport.

- A Libreville, le centre hospitalier dispose de nouveaux blocs opératoires et d’un nouveau service d’urgences tandis que le CHU d’Angondjé prend en charge les urgences à proximité du stade de l’Amitié sino-gabonaise.



Raccourcir les distances et les temps de prise en charge a également fait partie des enjeux majeurs relevés par le Gabon pour la CAN. Pour ce faire, un plan sanitaire a été mis en place et c’est dans ce cadre que 14 nouvelles ambulances et deux hélicoptères d’intervention rapide ont été acquis par le Gabon. Ces équipements serviront aussi bien aux supporters qu’aux Gabonais pendant et après la CAN.


Et comment ne pas citer l’initiative « CAN SANS SIDA » de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille ! Par cette campagne, parrainée par les stars du football Didier Ovono, capitaine adjoint des Panthères, et Samuel Eto’o, célèbre joueur camerounais, la Première Dame entend profiter de la médiatisation de la CAN 2012 pour sensibiliser davantage les populations africaines et gabonaises, et en particulier les jeunes, à la lutte contre le VIH/Sida. Avec pour objectif, « zéro transmission, zéro décès, zéro discrimination » pendant la CAN 2012.

La sécurité

Un plan de sécurité a été élaboré pour garantir le bon déroulement de la compétition sportive aussi bien pour les Gabonais que pour les joueurs et les supporters.

Ainsi les sites de la Can sont sous surveillance 24h/24 et une inspection est effectuée avant chaque utilisation des sites de compétition, d’entraînement et d’hébergement. Une protection rapprochée est garantie à chaque délégation sportive y compris lors des déplacements. Enfin, une cellule de veille collecte et traite en permanence toutes les informations susceptibles de perturber le bon déroulement de la CAN.

Les personnels de sécurité ont évidemment reçu une formation adaptée pour la mise en place des mécanismes de sécurisation de l’événement, notamment :
  • Les unités d’intervention et de protection ;
  • Les forces spéciales ;
  • Les forces de défense et de sécurité ;
  • Les stadiers ;
  • Les conducteurs et autres opérateurs matériels spécifiques.
La CAN au Gabon, une réalité



L’ensemble de ces réalisations a été rendue possible grâce à la détermination du Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, qui a tout mis en œuvre pour permettre au Gabon d’organiser cet événement majeur du sport africain. Le Président s’est d’ailleurs rendu lui-même et à de nombreuses reprises sur les différents chantiers afin d’en contrôler leur mise en œuvre dans les délais et dans le respect des normes de fiabilité.

« C’est avec une immense fierté pour moi et pour tous les Gabonais que sera lancée cette Coupe d’Afrique des Nations 2012 au Gabon. Nous rêvions de la CAN et, comme promis avant mon élection à la Magistrature Suprême en 2009, le Gabon est aujourd’hui fin prêt pour la compétition et  vêtira ses habits de fête en l'honneur du football africain », a déclaré le Président Ali Bongo Ondimba lors de sa dernière visite de contrôle au stade de l’Amitié sino-gabonaise, quelques jours avant l’ouverture de la Coupe d’Afrique des Nations.


Aujourd’hui, la tenue de la CAN 2012 au Gabon est une réalité. Le pays rayonne aussi bien par les exploits de ses Panthères que par le parfait déroulement de la compétition. Autrement dit, la plus belle des récompenses pour Ali Bongo Ondimba, pour les Gabonais, pour le Gabon.

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