Communiqué de Presse de l'UJPDG-FRANCE:
Ça y est! La presse sensationnaliste française semble avoir repris du service en s’adonnant de nouveau à sa marque de fabrique favorite : importuner des Chefs d’Etat d’Afrique NOIRE, avec une particulière préférence pour celle du centre pétrolifère! A la fois malfaisante et tendancieuse, la campagne menée au gré des humeurs, accointances et inspirations de quelques organisations bien pensantes, moralisatrices à souhait ici en France à l’encontre de ces dirigeants africains sous le thème des « biens mal acquis », connaît une recrudescence ces derniers jours avec en ligne de mire le Gabon et son Président Ali BONGO ONDIMBA sous diverses formes.
On démarre avec le père, une fois qu’il n’est plus de ce monde, on fait le procès de la famille, aujourd’hui celui de l’enfant le plus en vue par ses fonctions et avec l'invention d'un nouveau délit : le délit de filiation et de patronyme tout en s’érigeant en apôtres de la défense des droits de l’Homme et de la démocratie.
Les Jeunes de l'UJPDG-FRANCE voudraient rappeler aux petits journaleux franchouillards et acculturés de la presse parisienne, qu’ils leur sauront gré de bien vouloir commencer par nettoyer le poussiéreux paillasson de la maison France avant de s’en prendre au petit portillon du village Afrique Centrale en général et du petit Gabon en particulier, lequel vole désormais de ses propres ailes depuis le 17 Août 1960.
En effet, nous remarquons qu’ au moment où le peuple gabonais s’emploie à rédiger une nouvelle page de son histoire en vivant de plein pieds le changement, au moment où les questions de bien-être social, de révolution des mentalités, de développement infrastructurel sont au cœur des priorités du Président ALI BONGO ONIDMBA, qui, toujours un peu plus près de ses populations leur apporte des solutions concrètes, les journaleux de la France à Fric s’attachent à noircir le tableau, à diaboliser l’homme et à nier les faits.
L'UJPDG-FRANCE voudrait également réitérer qu’aujourd’hui l’Afrique n’a plus à se faire juger ou critiquer par les rejetons de ceux là même qui sont au cœur de ses échecs. Au nom de quoi ou de qui le Gabon doit-il recevoir des leçons de personnages de petite vertu à l'infertilité intellectuelle inquiétante, qui sont eux-mêmes à l’origine des plus grands scandales de ces dernières années ? Souffrez que nous vous rappelions que les crises financières et triples A qui se volatilisent, les trafics d’influence à haute échelle, les affaires de mœurs, la destruction à tout va de la planète et les guerres injustifiées ne viennent pas de notre Continent !
Depuis le 16 Octobre 2009, date désormais bien connue de tous, le Gabon se conjugue en réformes et chantiers visibles, en résultats aussi.
Le Président Ali BONGO ONDIMBA ne ménage aucun effort pour voir le quotidien de ses compatriotes s’améliorer. Or, cela ne semble ni ravir certains médias aux ordres, ni certains pays qui voient d’un mauvais œil la diversification des partenaires du Gabon que le Président Nicolas SARKOZY avait d'ailleurs approuvé dans son allocution du 22 Février 2010 à Libreville, ni même des individus ne trouvant plus leurs comptes dans le nouveau mode de Gouvernance du Gabon, c'est-à-dire un Gabon nettoyé des myrmidons et reliques de la « France à Fric » !
En ce qui concerne le Président de la République Ali BONGO ONDIMBA, nul ne peut rapporter la preuve d’un seul bien prétendu mal acquis, pas un seul! Au-delà de lui, certaines attitudes frisent la condescendance : que n’a-t-on entendu? Tel Chef d’Etat Africain a une Mercédès et alors? N’est ce pas possible ? Avez-vous simplement idée du nombre d’Africains propriétaires immobiliers ou de grosses cylindrées en Europe, aux USA et dans le monde? Tel Chef d’Etat a acheté tant de costumes à tel prix, et alors??? Autrement dit pour reprendre une expression camerounaise : « Est-ce que quand je porte mon caleçon ça vous serre ???. »
Si en effet, Africain rime automatiquement avec pauvreté, et avec voleur lorsqu’il a des richesses, il n’est pas étonnant que certains clichés et préjugés perdurent. Mais au juste, de quel droit vous, petits journaleux du Canard Enchainé, du Nouvelobs ou associations dites de lutte contre la corruption, vous sentez-vous devenir des mandataires autoproclamés pour ester en justice en lieu et place des Africains eux-mêmes ? Cela s’appelle du paternalisme de mauvais aloi.
Bien Mal acquis pour Biens Mal Acquis que dire de la spoliation du continent qui, tout en regorgeant des plus importantes ressources naturelles du globe se trouve en queue du développement économique et social ? Les BMA c’est selon… Quand un certain avocat célèbre, fait son mea culpa de transporteur de valises et djembés à la face du monde, ces prétendus défenseurs de l’orthodoxie et de la morale au nom et en substitution aux pauvres petits africains, adoptent la politique de l’autruche et un silence pour le moins étonnant!
Alors messieurs entre nous, qui-est-ce qui se cache derrière cette volonté sans cesse grandissante de décrédibiliser le Président de la République Gabonaise, de nier ses efforts, d’oblitérer sa relation avec son peuple, et surtout de vous accaparer le droit souverain du peuple gabonais de juger ses dirigeants? Ce même peuple qui d’ailleurs, ira à l’unissons le 17 Décembre prochain lui offrir une écrasante majorité à l’Assemblée Nationale, laquelle viendra à son tour faire taire les détracteurs et les prophètes du chaos, tout en rappelant à qui le voudra, que les Etats africains sont souverains.
Il est peut-être plus facile de se perdre en conjectures que de s’attaquer à des aveux. Le Gabon en ce qui le concerne fera face à toute campagne pernicieuse d’où qu’elle vienne. Ce qui nous intéresse c’est de nous inscrire dans la dynamique d’un continent qui progresse malgré les vicissitudes et injustices de l’histoire avec une croissance moyenne et soutenue d’au moins 5% par an au cours des dernières années. Ce qui nous intéresse c’est de continuer à engranger les succès diplomatiques et économiques avec des actions et décisions concrètes qui indiquent que les sillons de « l’Avenir en partage » se tracent résolument.
Avec Ali BONGO ONDIMBA, le Gabon s’est engagé à mettre en place les facteurs irréversibles de développement : les infrastructures routières, l’énergie et le capital humain. Il a su avec lucidité et courage faires sienne la maxime selon laquelle « un Etat a des intérêts » en prenant la décision d’arrêt d’exportation des grumes et d’une nécessaire première ou seconde transformation locale, en faisant entrer le Gabon dansle capital d’ERAMET, en décidant, outre l’élaboration de nouveaux codes minier et pétrolier, de la création de la Société nationale des hydrocarbures , de l’arrêt du torchage du gaz, d’une nouvelle politique énergétique et de la création d’une société de gestion et de patrimoine, du partenariat avec Bechteldans le cadre de l’Agence Nationale des Grands Travaux, de la mise en place d’un Fonds National Souverain et plus récemment d’une nouvelle politique de couverture sanitaire et d’habitat.
L’option du Président Ali BONGO ONDIMBA porte la marque des nouveaux dirigeants, d’un nouveau partenariat, du co-développement et se heurte aux vicissitudes et vestiges de cercles groupusculaires, celle de la mafia conspiratrice derrière ses rideaux de fumée pour reprendre une expression révélatrice, de Pierre Péan.
En France, l’opinion publique comprendra qu’il faille aujourd’hui moraliser tout ce qui était immoral hier et que tout comme la France, les autres pays en développements puissent aspirer à la gouvernance et à l’émergence. Si, le reproche commun et dominant est la constitution de patrimoines mobiliers et immobiliers faramineux par des dirigeants dans les pays occidentaux, sur la base de l’extorsion des fonds publics de leur pays et populations appauvries, l’information exacte doit prévaloir sur le lynchage médiatique et la condescendance.
Les scandales, lorsqu’ils sont établis, d’un bord à l’autre de la Méditerranée et du Sahara, doivent être dénoncés et punis. Tous les scandales sans exclusive, indépendamment de l’exercice ou non de certaines fonctions ou de la posture du moment.
Au sein d’une opinion publique, d’une action politique et d’une démarche économique qui devient de plus en plus internationale, la question n’est pas sans importance de voir ainsi livrées en pâture des personnalités qui effectuent depuis des années le juste combat de la survie de leurs Etats mais encore plus à l’encontre d’un dirigeant , symbole du nouveau leadership et de la nouvelle génération comme Ali BONGO ONDIMBA.
Elle engage en effet, non seulement leur réputation en tant qu’individu, mais plus encore, la capacité des peuples qu’ils représentent à exister dans l’âpre bataille que se mènent les nations, pour obtenir le plus de prospérité matérielle, la plus grande extension de libertés et le plus grand rayonnement culturel et social pour leurs peuples. Au Gabon c’est tout le sens du pilotage par la vision pour aller vers l’émergence, le développement, le partage dans la paix, l’unité et la cohésion nationales.
Messieurs, Libérez le passage aux Gabonais, ils veulent AVANCER !
Fait à Paris le Lundi 14 Novembre 2011
L'Union des Jeunes du Parti Démocratique Gabonais de France