Libreville, 28 août 2011 (Infos Gabon) – Sur 52 Etats répertoriés, le Gabon figure au 4ème rang parmi ceux du continent africain qui consacrent un budget significatif au bien-être social de l’enfant, selon le rapport 2011 présenté dernièrement à Dakar au Sénégal par African Child Policy Forum (ACPF).
Le Gabon se situe juste derrière la Tanzanie, le Mozambique et le Niger. L’étude prend en compte cinq catégories fondées sur les dépenses dans les secteurs-clés relatifs au bien-être de l’enfant dont notamment la santé, l’éducation, la protection sociale et le développement de la petite enfance.
Le budget consacré par le Gabon est parmi les plus élevés du continent, ce qui lui vaut cette reconnaissance internationale. Selon le rapport, les pays africains n’honorent pas le plus souvent leurs engagements par rapport aux budgets alloués au bien-être des enfants.
Dix Gouvernements sont classés comme étant les moins engagés dont le Soudan, logé à la dernière place de ce tableau de bord. De même que d’autres Etats comme la Guinée-Bissau, l’Erythrée, le Burundi, la RDC, les Comores, la Sierra Leone, l’Angola et la RCA, qui ont tous enregistré dans ce domaine des résultats très faibles.
A en croire ACPF, le contraste enregistré dans ces pays, c’est que les niveaux d’investissement dans les secteurs qui profitent aux enfants sont très bas à cause du déclin de ses allocations au fil des années, mais également à cause du niveau élevé des dépenses militaires.
Source: InfoGabon
lundi 29 août 2011
Près de 255 millions de FCFA de la mairie de Franceville pour réaliser des infrastructures communautaires
Le conseil municipal de Franceville, chef-lieu de la province du Haut-Ogooué (sud-est) a investi 252.830.729 FCFA en appui au Programme de développement des infrastructures (PDIL) en cours d’exécution dans le 3ème arrondissement de cette ville.
Ce programme a déjà permis de réaliser 36 projets dont l’aménagement d’une voie en pavé, la réhabilitation d’une école, la construction des passerelles relier des quartiers difficile d’accès, ainsi que des lavoirs publics de type moderne et de nombreux abris bus dans cet arrondissement de Franceville.
Franceville est l’un des bénéficiaires de ce programme, au même titre que Lambaréné, Port-Gentil, Oyem, Mouila et Libreville.
Le PDIL est un cofinancement de la Banque mondiale et de l’Etat gabonais. Il est coordonné sur place par la commission nationale des TIPPEE.
Ce programme a déjà permis de réaliser 36 projets dont l’aménagement d’une voie en pavé, la réhabilitation d’une école, la construction des passerelles relier des quartiers difficile d’accès, ainsi que des lavoirs publics de type moderne et de nombreux abris bus dans cet arrondissement de Franceville.
Franceville est l’un des bénéficiaires de ce programme, au même titre que Lambaréné, Port-Gentil, Oyem, Mouila et Libreville.
Le PDIL est un cofinancement de la Banque mondiale et de l’Etat gabonais. Il est coordonné sur place par la commission nationale des TIPPEE.
lundi 22 août 2011
Gabon: La zone économique Spéciale (ZES) de Nkok, une voie vers la réalisation du "Gabon industriel"
Libreville — Le projet de construction de la Zone économique Spéciale (ZES) de Nkok, de plus de 800 millions de dollars américain, sur une surface de plus de 1126 hectares, prend forme chaque jour avec un rythme de travail intense imprimé dans ce chantier par l'investisseur, la multinationale OLAM et ses sous traitants, et qui devrait offrir d'opportunités énormes dans la réalisation du Gabon industriel prôné par le président de la République, Ali Bongo Ondimba.
D'emblée, à l'approche de ce site, les voies d'accès, 2x2, surplombées de lampadaires, s'offrent au regard du citoyen médusé. Et selon Thérence Onganga, assistant responsable de ce projet de la ZES, il s'agit du « plus grand chantier du Gabon et même de l'Afrique centrale ».
Située à 27 kilomètres à l'est de Libreville, la Zone Economique Spéciale de Nkok est destinée à la transformation locale, au moins semi -finie du bois, à apporter une valeur ajoutée à cette richesse à travers une transformation industriel.
La réalisation des travaux d'aménagement du site sont très avancés à tel point que la première phase sera présentée le 9 septembre prochain, avec la livraison de certains édifices.
Il ressort que le projet a enregistré à ce jour 40% d'entreprises qui ont déjà réservé leur place. « Dans la zone économique Spéciale de Nkok, on aura des Super marchés, des Ecoles, des Industries, des Services administratifs, tels que le CEDOC, un Port commercial (water acces). En un mot, la ZES c'est une ville en miniature que nous sommes en train de créer ici à Nkok », a affirmé l'assistant du chef de projet de développement de ladite zone.
Prévu pour être livré en mars 2012, la création de la ZES est un projet exemplaire du Gabon émergent. Pour mener à bien ce projet, une quinzaine d'entreprises y travaillent nuit et jour.
Cette zone présentera plusieurs avantages pour les futurs investisseurs entre autres, l'exonération des taxes, des facilités d'obtention des documents administratifs, tels que l'établissement des titres de séjour, les agréments ...
Sur le terrain, des édifices montent clairement et à chaque carrefour, un monument bien précis. Le plus marquant d'entre eux, est sans aucun doute, celui illustrant les trois présidents du Gabon. Feu Léon Mba, père de la nation et feu Omar Bongo Ondimba deuxième chef de l'Etat du pays et au centre Ali Bongo Ondimba, actuel président. Les trois tiennent entre leur main la carte du Gabon (voir photo ci-dessus).
Outre le côté industrie de la zone, il y aura également des logements sociaux et de haut standing. « Il y aura tout ce qui est nécessaire à une ville moderne avec un tracé digne des villes moderne. Il y aura un axe pour chaque catégorie de besoin. Exemple: une partie pour les grands magasins, une partie pour les écoles, une autre pour les espace de jeu, une autre pour les résidences, ... », a-t- il expliqué.
Cette zone économique est une des concrétisations de l'idéal du Gabon vert et du Gabon industriel, deux des trois piliers du Projet de société du chef de l'Etat. La ZES contribuera à exposer « une vitrine des compétences des exploitants forestiers gabonais et des industriels dans la valorisation des matières premières par une industrie novatrice et de pointe », avait indiqué en 2010 Ali Bongo Ondimba lors de sa première visite de ce site.
D'emblée, à l'approche de ce site, les voies d'accès, 2x2, surplombées de lampadaires, s'offrent au regard du citoyen médusé. Et selon Thérence Onganga, assistant responsable de ce projet de la ZES, il s'agit du « plus grand chantier du Gabon et même de l'Afrique centrale ».
Située à 27 kilomètres à l'est de Libreville, la Zone Economique Spéciale de Nkok est destinée à la transformation locale, au moins semi -finie du bois, à apporter une valeur ajoutée à cette richesse à travers une transformation industriel.
La réalisation des travaux d'aménagement du site sont très avancés à tel point que la première phase sera présentée le 9 septembre prochain, avec la livraison de certains édifices.
Il ressort que le projet a enregistré à ce jour 40% d'entreprises qui ont déjà réservé leur place. « Dans la zone économique Spéciale de Nkok, on aura des Super marchés, des Ecoles, des Industries, des Services administratifs, tels que le CEDOC, un Port commercial (water acces). En un mot, la ZES c'est une ville en miniature que nous sommes en train de créer ici à Nkok », a affirmé l'assistant du chef de projet de développement de ladite zone.
Prévu pour être livré en mars 2012, la création de la ZES est un projet exemplaire du Gabon émergent. Pour mener à bien ce projet, une quinzaine d'entreprises y travaillent nuit et jour.
Cette zone présentera plusieurs avantages pour les futurs investisseurs entre autres, l'exonération des taxes, des facilités d'obtention des documents administratifs, tels que l'établissement des titres de séjour, les agréments ...
Sur le terrain, des édifices montent clairement et à chaque carrefour, un monument bien précis. Le plus marquant d'entre eux, est sans aucun doute, celui illustrant les trois présidents du Gabon. Feu Léon Mba, père de la nation et feu Omar Bongo Ondimba deuxième chef de l'Etat du pays et au centre Ali Bongo Ondimba, actuel président. Les trois tiennent entre leur main la carte du Gabon (voir photo ci-dessus).
Outre le côté industrie de la zone, il y aura également des logements sociaux et de haut standing. « Il y aura tout ce qui est nécessaire à une ville moderne avec un tracé digne des villes moderne. Il y aura un axe pour chaque catégorie de besoin. Exemple: une partie pour les grands magasins, une partie pour les écoles, une autre pour les espace de jeu, une autre pour les résidences, ... », a-t- il expliqué.
Cette zone économique est une des concrétisations de l'idéal du Gabon vert et du Gabon industriel, deux des trois piliers du Projet de société du chef de l'Etat. La ZES contribuera à exposer « une vitrine des compétences des exploitants forestiers gabonais et des industriels dans la valorisation des matières premières par une industrie novatrice et de pointe », avait indiqué en 2010 Ali Bongo Ondimba lors de sa première visite de ce site.
mardi 16 août 2011
Le Président BARACK OBAMA écrit à son homologue ALI BONGO ONDIMBA: Il Salue les Positions Courageuses du Gabon et ses Progrès
Le Président américain, Barack OBAMA, dans une lettre parvenue à l'UJPDG-FRANCE, à l’occasion du 51ème anniversaire de l’indépendance du Gabon, adressée à son homologue Ali BONGO ONDIMBA, a remercié le chef de l’Etat Gabonais pour les « positions courageuses » prises en soutien de l'action du Conseil de Sécurité des Nations Unies, mais aussi, il l’a félicité pour « les progrès que le Gabon a réalisés récemment en vue d'accroitre sa liberté et sa prospérité ».
Texte intégral de la lettre du président Barack OBAMA à son homologue Ali BONGO ONDIMBA.
« Monsieur le Président, au nom du peuple américain, c'est avec un grand plaisir que je félicite le peuple de la République Gabonaise à l'occasion de la célébration du 51è'" anniversaire de son indépendance.
Nous accordons une importance particulière à l'amitié entre nos deux pays, et nous nous réjouissons d'élargir ainsi notre coopération bilatérale. Nous vous remercions pour les positions courageuses prises par votre pays en soutien de l'action du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
Je vous félicite des progrès que le Gabon a réalisés récemment en vue d'accroitre sa liberté et sa prospérité. Alors que vous luttez pour mettre en place une gouvernance transparente et démocratique pour le peuple gabonais, les Etats-Unis sont à vos côtés. J'espère que les années à venir seront des années de paix et de stabilité pour le Gabon.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de ma très haute considération.
Barack Obama»
Texte intégral de la lettre du président Barack OBAMA à son homologue Ali BONGO ONDIMBA.
« Monsieur le Président, au nom du peuple américain, c'est avec un grand plaisir que je félicite le peuple de la République Gabonaise à l'occasion de la célébration du 51è'" anniversaire de son indépendance.
Nous accordons une importance particulière à l'amitié entre nos deux pays, et nous nous réjouissons d'élargir ainsi notre coopération bilatérale. Nous vous remercions pour les positions courageuses prises par votre pays en soutien de l'action du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
Je vous félicite des progrès que le Gabon a réalisés récemment en vue d'accroitre sa liberté et sa prospérité. Alors que vous luttez pour mettre en place une gouvernance transparente et démocratique pour le peuple gabonais, les Etats-Unis sont à vos côtés. J'espère que les années à venir seront des années de paix et de stabilité pour le Gabon.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de ma très haute considération.
Barack Obama»
Coup d’envoi ce vendredi de la 12ème édition de la fête des cultures
Le Président gabonais Ali Bongo Ondimba donnera vendredi à Libreville, le coup d’envoi de la 12ème édition de la fête des cultures, placée cette année sous le thème ''Identités créatrices et Patrimoine en partage''.
Un défilé des groupes socioculturels en provenance des neuf provinces du pays est prévu au boulevard de l’indépendance, sur le bord de mer de la capitale gabonaise, à l’occasion du lancement de la fête des cultures qui, depuis plus d’une décennie, célèbre la diversité des peuples du Gabon.
"Devenue au fil des ans l’incontournable moment d’échanges entre les peuples qui habitent ce pays et ceux qui y demeurent un temps, la fête des cultures a su, édition après édition, magnifier la diversité culturelle nationale", souligne un document du ministère de la culture.
Expositions des produits du terroir, animations socioculturelles, vernissages vont rythmer cette manifestation de trois jours, lancée en 1997 par l’ancien de maire de Libreville, le père Paul Mba Abessole, leader du Rassemblement pour le Gabon (RPG-majorité).
Des prestations culturelles sont prévues dans les six arrondissements de Libreville et la commune voisine d’Owendo.
Après une éclipse de deux ans (2000-2002), la fête des cultures a refait surface en 2003 et son organisation a été confiée au ministère de la Culture qui a tenté de la délocaliser à l’intérieur du pays ou chaque province devait l’accueillir à tour de rôle.
En 2004, la province du Haut-Ogooué a été la première à organiser la fête des cultures. Depuis lors, l’expérience ne s’est jamais plus renouvelée.
La 12ème édition de la fête des cultures s’achève dimanche prochain.
Un défilé des groupes socioculturels en provenance des neuf provinces du pays est prévu au boulevard de l’indépendance, sur le bord de mer de la capitale gabonaise, à l’occasion du lancement de la fête des cultures qui, depuis plus d’une décennie, célèbre la diversité des peuples du Gabon.
"Devenue au fil des ans l’incontournable moment d’échanges entre les peuples qui habitent ce pays et ceux qui y demeurent un temps, la fête des cultures a su, édition après édition, magnifier la diversité culturelle nationale", souligne un document du ministère de la culture.
Expositions des produits du terroir, animations socioculturelles, vernissages vont rythmer cette manifestation de trois jours, lancée en 1997 par l’ancien de maire de Libreville, le père Paul Mba Abessole, leader du Rassemblement pour le Gabon (RPG-majorité).
Des prestations culturelles sont prévues dans les six arrondissements de Libreville et la commune voisine d’Owendo.
Après une éclipse de deux ans (2000-2002), la fête des cultures a refait surface en 2003 et son organisation a été confiée au ministère de la Culture qui a tenté de la délocaliser à l’intérieur du pays ou chaque province devait l’accueillir à tour de rôle.
En 2004, la province du Haut-Ogooué a été la première à organiser la fête des cultures. Depuis lors, l’expérience ne s’est jamais plus renouvelée.
La 12ème édition de la fête des cultures s’achève dimanche prochain.
Gabon: Nette progression d'Internet dans les quartiers sous - intégrés de Libreville
Depuis peu, de nombreux quartiers, communément appelés sous - intégrés de Libreville, la capitale gabonaise, se dotent progressivement de cybercafés, littéralement pris d'assaut notamment par des jeunes qui profitent aussi bien de cette proximité géographique que des tarifs désormais pratiqués.
De Bellevue II en passant par Avéa, derrière la Prison, Atsibé -Tsos, Akébé-Plaine, les PK- 7, 8, 9, 12 ou Beau-Séjour, la création des cybercafés connait une nette évolution dans ces zones pourtant mal-loties, exposées aux coupures récurrentes d'électricité et à tort ou à raison, infestées de "crapules".
" Le risque était à prendre pour y investir", admet Olivier Demba, informaticien, déflaté d'une entreprise locale et désormais propriétaire d'un espace, ouvert à Bellevue II, dans le 3ème arrondissement, où viennent surfer et solliciter des services (reluire, impressions, formation sur Internet...) des clients de plus en plus jeunes.
" Au départ, j'ai eu recours à un matériel de seconde main, mais face à l'affluence observée depuis quelques mois, je compte développer mon activité en renforçant le parc d'ordinateurs par l'achat d'outils neufs", s'engage O. D., dont le lancement du cyber remonte à janvier 2011.
De son côté, Maturin Makosso, gérant d'une boite à Atsibe-Tsos, justifie cet engouement par la démocratisation des tarifs dans un environnement où les priorités de la population demeurent la route, l'eau, le courant, la sante, l'école.
"L'Internet a été désacralisé. Naguère, ici, il fallait débourser au moins 1000 francs CFA voire 2000 pour une connexion d'une heure. Aujourd'hui, nous offrons cette même durée à 300 francs seulement pour un poste fixe; la ligne ADSL et le Wifi disposent néanmoins d'une tarification spécifique", explique-t-il.
" Il faut aussi commencer par la démystification de l'Internet par la réduction des tarifs. Nous pouvons, à ce titre, contribuer à canaliser la jeunesse en procurant aux enfants des loisirs sains", clame un usager, la quarantaine, accompagné d'un garçon d'une dizaine d'années fasciné par les jeux.
Dans ce domaine, les dispositions sont claires. Le cybercafé étant une activité commerciale comme tout autre, il est enclin à obéir aux règles en vigueur.
Il est fait obligation à tout tenancier d'afficher le barème des prix fixé par le ministère de l'Economie, de disposer du stick qui autorise les normes admises en République Gabonaise délivré par l'Agence de Régulation des Télécommunications (ARTEL) et de s'attendre à des descentes de l'Association gabonaise des Consommateurs.
Dans ce contexte, les internautes des quartiers sous-intégrés et autres se sentent protégés contre tout dérapage, tout glissement vers une envolée des tarifs avec l'afflux de clients mus par la volonté de s'arrimer aux Technologies de l'Information et de la Communication (TIC), en plein essor au Gabon.
A l'aube du maillage du territoire national en fibre optique, d'aucuns s'attendent à une forte pénétration des TIC dans les milieux défavorisés et pour ainsi rompre avec l'analphabétisme numérique.
Source: Gabonnews
De Bellevue II en passant par Avéa, derrière la Prison, Atsibé -Tsos, Akébé-Plaine, les PK- 7, 8, 9, 12 ou Beau-Séjour, la création des cybercafés connait une nette évolution dans ces zones pourtant mal-loties, exposées aux coupures récurrentes d'électricité et à tort ou à raison, infestées de "crapules".
" Le risque était à prendre pour y investir", admet Olivier Demba, informaticien, déflaté d'une entreprise locale et désormais propriétaire d'un espace, ouvert à Bellevue II, dans le 3ème arrondissement, où viennent surfer et solliciter des services (reluire, impressions, formation sur Internet...) des clients de plus en plus jeunes.
" Au départ, j'ai eu recours à un matériel de seconde main, mais face à l'affluence observée depuis quelques mois, je compte développer mon activité en renforçant le parc d'ordinateurs par l'achat d'outils neufs", s'engage O. D., dont le lancement du cyber remonte à janvier 2011.
De son côté, Maturin Makosso, gérant d'une boite à Atsibe-Tsos, justifie cet engouement par la démocratisation des tarifs dans un environnement où les priorités de la population demeurent la route, l'eau, le courant, la sante, l'école.
"L'Internet a été désacralisé. Naguère, ici, il fallait débourser au moins 1000 francs CFA voire 2000 pour une connexion d'une heure. Aujourd'hui, nous offrons cette même durée à 300 francs seulement pour un poste fixe; la ligne ADSL et le Wifi disposent néanmoins d'une tarification spécifique", explique-t-il.
" Il faut aussi commencer par la démystification de l'Internet par la réduction des tarifs. Nous pouvons, à ce titre, contribuer à canaliser la jeunesse en procurant aux enfants des loisirs sains", clame un usager, la quarantaine, accompagné d'un garçon d'une dizaine d'années fasciné par les jeux.
Dans ce domaine, les dispositions sont claires. Le cybercafé étant une activité commerciale comme tout autre, il est enclin à obéir aux règles en vigueur.
Il est fait obligation à tout tenancier d'afficher le barème des prix fixé par le ministère de l'Economie, de disposer du stick qui autorise les normes admises en République Gabonaise délivré par l'Agence de Régulation des Télécommunications (ARTEL) et de s'attendre à des descentes de l'Association gabonaise des Consommateurs.
Dans ce contexte, les internautes des quartiers sous-intégrés et autres se sentent protégés contre tout dérapage, tout glissement vers une envolée des tarifs avec l'afflux de clients mus par la volonté de s'arrimer aux Technologies de l'Information et de la Communication (TIC), en plein essor au Gabon.
A l'aube du maillage du territoire national en fibre optique, d'aucuns s'attendent à une forte pénétration des TIC dans les milieux défavorisés et pour ainsi rompre avec l'analphabétisme numérique.
Source: Gabonnews
lundi 8 août 2011
Quand Ali Bongo Ondimba booste une nouvelle impulsion à la politique d’intégration sous-régionale
Libreville, 5 août 2011 (Infos Gabon) - Le Président de la République Gabonaise, Ali Bongo Ondimba et son homologue équato-guinéen, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, ont donné une nouvelle impulsion à la politique d’intégration sous-régionale prônée par la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC). Ils ont procédé jeudi dernier, à l’inauguration de deux ponts à Ebebiyin et à Mongomo, aux frontières de leurs pays.
A Ebebiyin singulièrement, dans une ferveur indéniable, les populations, de part et d’autre du fleuve Kyé ont célébré l’avènement de cette voie de communication raffermissant les liens entre le Gabon et la Guinée Equatoriale. Une nouvelle approche des échanges, surtout économique, qui cadre avec les allocutions prononcées par les deux Chefs d’Etat et le président de la Commission de la CEMAC, Antoine Tsini.
Rappelons comme l’a souligné le numéro un gabonais lors de son intervention, que ces infrastructures routières sont nées de la signature du protocole inter-états signé en 2007 par le défunt président Omar Bongo Ondimba et l’actuel Chef de l’Etat équato-guinéen. Le souhait étant d’améliorer concrètement la circulation des biens et des personnes en Afrique Centrale et surtout entre les deux pays voisins.
Pour Ali Bongo Ondimba, la route est un symbole du mouvement, un vecteur de communication et un élément de brassage des populations, qui favorise les échanges économiques intercommunautaires. Le Chef de l’Etat gabonais a également signifié que la construction des ponts aux frontières entre les deux pays s’inscrit dans le cadre du plan direct consensuel de transport en Afrique Centrale dont le principal but est de doter la sous-région d’un réseau routier intégrateur. Non sans préciser que ces ouvrages sont le résultat d’un long processus de réalisation d’infrastructures de développement et d’aménagement de la frontière commune qui devra, selon le numéro un gabonais, être manifeste, une fois de plus, en janvier prochain, à travers l’organisation par les deux pays de la Coupe d’Afrique des Nations de football (CAN 2012).
Cet investissement colossal estimé à 2 313 319 672 FCFA, permet d’après le président de la Commission de la CEMAC, de renforcer la visibilité des rapports des Etats sous-régionaux en vue d’atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).
A Ebebiyin singulièrement, dans une ferveur indéniable, les populations, de part et d’autre du fleuve Kyé ont célébré l’avènement de cette voie de communication raffermissant les liens entre le Gabon et la Guinée Equatoriale. Une nouvelle approche des échanges, surtout économique, qui cadre avec les allocutions prononcées par les deux Chefs d’Etat et le président de la Commission de la CEMAC, Antoine Tsini.
Rappelons comme l’a souligné le numéro un gabonais lors de son intervention, que ces infrastructures routières sont nées de la signature du protocole inter-états signé en 2007 par le défunt président Omar Bongo Ondimba et l’actuel Chef de l’Etat équato-guinéen. Le souhait étant d’améliorer concrètement la circulation des biens et des personnes en Afrique Centrale et surtout entre les deux pays voisins.
Pour Ali Bongo Ondimba, la route est un symbole du mouvement, un vecteur de communication et un élément de brassage des populations, qui favorise les échanges économiques intercommunautaires. Le Chef de l’Etat gabonais a également signifié que la construction des ponts aux frontières entre les deux pays s’inscrit dans le cadre du plan direct consensuel de transport en Afrique Centrale dont le principal but est de doter la sous-région d’un réseau routier intégrateur. Non sans préciser que ces ouvrages sont le résultat d’un long processus de réalisation d’infrastructures de développement et d’aménagement de la frontière commune qui devra, selon le numéro un gabonais, être manifeste, une fois de plus, en janvier prochain, à travers l’organisation par les deux pays de la Coupe d’Afrique des Nations de football (CAN 2012).
Cet investissement colossal estimé à 2 313 319 672 FCFA, permet d’après le président de la Commission de la CEMAC, de renforcer la visibilité des rapports des Etats sous-régionaux en vue d’atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).
Lutte contre le braconnage : 150 défenses d’éléphants et 200 fusils de chasse saisis par le tribunal d’Oyem
150 défenses d’éléphants et 200 fusils de chasse saisis pendant plusieurs années par les services provinciaux des forces de sécurité, du WWF et des Eaux et Forêt du Woleu-Ntem ont été recensés, immatriculés, mesurés et prélevés en début de semaine au tribunal de première instance d’Oyem par des service agrées de l’Agence nationale des parcs nationaux (ANPN) du Gabon.
Cette opération qui a enregistré la participation du conservateur du parc de Minkébé, Hérvé Ndong Allogho et de son adjoint Honoré Nguele Nguele, ainsi que du greffier en chef du tribunal d’Oyem, responsable des saisies, Adrienne Nkili, vise l’élaboration d’outils permettant à l’ANPN de mettre en place une base de données sur les défenses d’ivoire et les fusils saisis dans le réseau des aires protégées.
Rappelons que l’Agence nationale des parcs nationaux (ANPN) du Gabon a été créée en 2007. Elle est un établissement public chargé de gérer le réseau des aires protégées du Gabon compte tenu de la problématique du braconnage et la lutte contre le trafic d’ivoires qui prend des proportions alarmantes au Gabon l’on a 13 parcs nationaux.
Cette opération qui a enregistré la participation du conservateur du parc de Minkébé, Hérvé Ndong Allogho et de son adjoint Honoré Nguele Nguele, ainsi que du greffier en chef du tribunal d’Oyem, responsable des saisies, Adrienne Nkili, vise l’élaboration d’outils permettant à l’ANPN de mettre en place une base de données sur les défenses d’ivoire et les fusils saisis dans le réseau des aires protégées.
Rappelons que l’Agence nationale des parcs nationaux (ANPN) du Gabon a été créée en 2007. Elle est un établissement public chargé de gérer le réseau des aires protégées du Gabon compte tenu de la problématique du braconnage et la lutte contre le trafic d’ivoires qui prend des proportions alarmantes au Gabon l’on a 13 parcs nationaux.
Ali Bongo Ondimba soucieux de donner un nouveau visage à la justice gabonaise
Libreville, 7 août 2011 (Infos Gabon) - Le Conseil supérieur de la magistrature s’est réuni vendredi dernier à Libreville sous la houlette du Chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, en sa qualité de Président dudit Conseil.
Cette réunion est souvent l’occasion de revisiter le dispositif institutionnel de l’organisation judiciaire et d’explorer les voies à même d’assurer le bon fonctionnement du service public de la justice. Il est la tribune devant laquelle le pouvoir judiciaire expose directement au Chef de l’Etat la réalité des dysfonctionnements qui enrayent l’appareil judiciaire et, en toute dignité, recherche avec lui des solutions aptes à placer la justice sur la rampe de la modernité et de la performance.
Une des ambitions politiques du numéro un gabonais est de doter le Gabon d’une justice moderne, indépendante, forte et crédible. C’est ainsi, qu’intervenant, le Président de la République gabonaise, a souligné que pour être équitable, la justice, et partant tous ses acteurs, notamment l’ensemble du corps des magistrats, se doit d’être autonome. Au moment où le Gabon amorce une phase décisive de son progrès démocratique, social et économique, de nouveaux défis surgissent et se posent à sa magistrature : l’émergence du Gabon est aussi à ce niveau d’exigence, a-t-il fait savoir.
Soucieux de donner un nouveau visage à la justice gabonaise, Ali Bongo Ondimba s’est engagé à veiller à ce qu’elle entre réellement dans la modernité. Le compte rendu de cette rencontre vous sera communiqué ultérieurement. Les mesures individuelles prises vous seront aussi données à la même occasion.
Source: InfoGabon
Cette réunion est souvent l’occasion de revisiter le dispositif institutionnel de l’organisation judiciaire et d’explorer les voies à même d’assurer le bon fonctionnement du service public de la justice. Il est la tribune devant laquelle le pouvoir judiciaire expose directement au Chef de l’Etat la réalité des dysfonctionnements qui enrayent l’appareil judiciaire et, en toute dignité, recherche avec lui des solutions aptes à placer la justice sur la rampe de la modernité et de la performance.
Une des ambitions politiques du numéro un gabonais est de doter le Gabon d’une justice moderne, indépendante, forte et crédible. C’est ainsi, qu’intervenant, le Président de la République gabonaise, a souligné que pour être équitable, la justice, et partant tous ses acteurs, notamment l’ensemble du corps des magistrats, se doit d’être autonome. Au moment où le Gabon amorce une phase décisive de son progrès démocratique, social et économique, de nouveaux défis surgissent et se posent à sa magistrature : l’émergence du Gabon est aussi à ce niveau d’exigence, a-t-il fait savoir.
Soucieux de donner un nouveau visage à la justice gabonaise, Ali Bongo Ondimba s’est engagé à veiller à ce qu’elle entre réellement dans la modernité. Le compte rendu de cette rencontre vous sera communiqué ultérieurement. Les mesures individuelles prises vous seront aussi données à la même occasion.
Source: InfoGabon
mercredi 3 août 2011
Le comité d'organisation de la CAN-2012 confiant - «Nous mettrons en oeuvre les recommandations de la CAF»
Les présidents des comités du Gabon et de la Guinée équatoriale pour l'organisation de la 28e Coupe d'Afrique des nations de football (CAN-2012) ont affirmé à Libreville que «toutes les dispositions seront prises pour accomplir les recommandations de la Confédération africaine de football (CAF) et des chefs d'Etat des deux pays».
Lors d'un point de presse tenu après plusieurs réunions de travail, le président du Cocan de la Guinée équatoriale, premier vice-premier ministre chargé de l'Economie et des Finances, M. Aniceto Ebiaca Muete, a salué «la convergence d'idées et la volonté commune» du Gabon et de la Guinée équatoriale de réussir une bonne organisation. «Nos travaux se sont déroulés dans un esprit amical et fraternel et nos échanges ont été fructueux à tous les niveaux. Nous nous sommes accordés sur tous les points et je peux vous assurer que nous atteindrons nos objectifs», a-t-il déclaré.
Pour la question liée au visa commun et aux accréditations, «les deux comités sont confiants», rassure le haut-commissaire du Cocan Gabon, Julius Marius Ogouebandja. «Après les rencontres de nos deux administrations, à savoir les ministères de l'Intérieur et de la Défense, sous la houlette de leurs tutelles, les deux parties se retrouveront à nouveau pour finaliser les recommandations de la CAF et concrétiser les exigences de nos deux chefs d'Etats», a-t-il indiqué, assurant que tout sera fait pour rendre facile et agréable le séjour des participants. La 28e édition de la Coupe d'Afrique des nations 2012 se déroulera du 21 janvier au 12 février 2012 au Gabon et en Guinée équatoriale dans les sites de Libreville et Franceville (Gabon), Malabo et Bata (Guinée équatoriale).
Lors d'un point de presse tenu après plusieurs réunions de travail, le président du Cocan de la Guinée équatoriale, premier vice-premier ministre chargé de l'Economie et des Finances, M. Aniceto Ebiaca Muete, a salué «la convergence d'idées et la volonté commune» du Gabon et de la Guinée équatoriale de réussir une bonne organisation. «Nos travaux se sont déroulés dans un esprit amical et fraternel et nos échanges ont été fructueux à tous les niveaux. Nous nous sommes accordés sur tous les points et je peux vous assurer que nous atteindrons nos objectifs», a-t-il déclaré.
Pour la question liée au visa commun et aux accréditations, «les deux comités sont confiants», rassure le haut-commissaire du Cocan Gabon, Julius Marius Ogouebandja. «Après les rencontres de nos deux administrations, à savoir les ministères de l'Intérieur et de la Défense, sous la houlette de leurs tutelles, les deux parties se retrouveront à nouveau pour finaliser les recommandations de la CAF et concrétiser les exigences de nos deux chefs d'Etats», a-t-il indiqué, assurant que tout sera fait pour rendre facile et agréable le séjour des participants. La 28e édition de la Coupe d'Afrique des nations 2012 se déroulera du 21 janvier au 12 février 2012 au Gabon et en Guinée équatoriale dans les sites de Libreville et Franceville (Gabon), Malabo et Bata (Guinée équatoriale).
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