Toutes les forces vives de la Nations se sont succédées au Palais de la Présidence de la République, en partant des Institutions Constitutionnelles, des Partis Politiques aussi bien de la majorité que de l'opposition, des Organisations Non Gouvernementales, des Forces de Défenses et de Sécurité, aux simples citoyen gabonais.
Fait particulièrement intriguant, Casimir Oyé Mba, lui dont on aurait pu penser qu'à la lumière de ses récentes sorties médiatiques semblait s'affranchir de la vassalité dans laquelle MBA LE BOA semble tenir au siège du PNUD, lui "Cam la Class"(la grosse blague), qui semblait retrouver le bon sens en sollicitant la clairvoyance du Chef de l'Etat ALI BONGO ONDIIMBA pour l'ouverture d'un dialogue entre les acteurs politiques, s'est soudainement et à la surprise générale, rétracté en déclinant l'invitation officielle du Chef de l'Etat à se joindre aux discussions pourtant liées au très sensible litige d'intérêt national sur l'ile Mbanié.
Ce silence de Casimir Oyé Mba n'est sans doute pas anodin, car on se souviendra que le jour du scrutin présidentiel du 30 Aout 2009, notre CAM national s'était également rétracté au grand dame de ses électeurs et ce, sans donner de raisons valables. Mais en réalité et d'après nos informations, c'est sous la pression d' un Chef d'Etat d'Afrique Centrale limitrophe au Gabon et particulièrement de la province du Woleu-Ntem qui lui aurait promis (il paraît) environ 2.8 milliards de nos francs d'argent de poche s'il acceptait de se retirer pour reporter ses voix sur qui vous savez... (suivez notre regard une fois de plus...). Aussi, l'absence de commentaire de la part de notre ancien Premier Ministre nous ramène à la question de savoir : Dans quel camp se trouve-t-il? Celui de l'intérêt de la Nation ou de ses propres intérêts?
Quoiqu'il en soit, tout porte à croire que le hors-la loi de Medouneu doit avoir une terrible épreuve de conscience, puisque ballotté entre son rêve de présider le Gabon et son penchant pour sa patrie du cœur, toute voisine. (Suivez notre regard...) Nous ne pouvons pas croire qu’inspiré par une certaine fée du logis, le champion du ridicule soit plongé dans la lecture d’Arlequin ou en admiration des séances de manucure, pédicure ou autres de sa compagne d’exil volontaire sur le territoire qu’il clame présider.
Quoiqu'il en soit, tout porte à croire que le hors-la loi de Medouneu doit avoir une terrible épreuve de conscience, puisque ballotté entre son rêve de présider le Gabon et son penchant pour sa patrie du cœur, toute voisine. (Suivez notre regard...) Nous ne pouvons pas croire qu’inspiré par une certaine fée du logis, le champion du ridicule soit plongé dans la lecture d’Arlequin ou en admiration des séances de manucure, pédicure ou autres de sa compagne d’exil volontaire sur le territoire qu’il clame présider.
Les deux ont en commun le retour eu royaume d’enfance mais tel n’est pas l’essentiel de notre propos. Les Gabonais veulent savoir que pense le président du ridicule du différend de l’Ile Mbanié ?
Quel rôle a-t-il joué ou pas dans cette affaire? Est-il prêt à sortir de son trou et à affronter un jury d'honneur ou un jury populaire pour expliquer son implication dans cette affaire sordide?
Que pense le député de Medouneu réfugié-squatteur devant l’éternel du formidable élan national de concertation et d’unité autour du Chef de l’Etat ?
André langue de Mboa (chien en langue omiènè) aurait-il perdu l’usage de la parole pour nous édifier sur l’appartenance de Mbanié au Gabon ? Est-il prêt à prendre position publiquement, lui le bavard des grilles du PNUD ?
Est-il pour le respect et l’application des textes internationaux, notamment de la Convention de Vienne sur le droit des Traités de 1969?
Le silence d'AMO alias MOA sur ce litige de Mbanié devient assurdissant... Au fait il nous revient que l’un de ses noms de baptême de campagne était André Mba Nié. Un nom prédestiné surtout quand on est loin d’être clean et qu’on a choisi d’être le secrétaire exécutif de la tortuosité….
Nous reviendrons plus en détail sur cette question avec plus de détails que beaucoup parmi nous semblent ignorer...
MBA OBAME doit s'expliquer sur le contrat de cession qu'il voulu faire signer au défunt Président de la République OMAR BONGO ONDIMBA, lequel renvoya notre vénal Ministre de l'Intérieur de l'époque, chez la Présidente de la Cour Constitutionnelle. Le refus catégorique de Marie Madeleine Mborantsouo de parapher ce document ubuesque et dangereux avait permis à notre pays de préserver son intégrité territoriale et de nous éviter une honte nationale.
Source : UJPDG
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire