A cinq mois des élections législatives, la saison de la prostitution politique et morale au Gabon est ouverte.
La trajectoire sinueuse et ridicule de sieur Marc ONA ESSANGUI, ancien employé véreux du PNUD où il aurait escroqué dans l'impunité totale plus de 400 milles francs CFA (raisons qui auraient entrainées son éviction de cette institution), et ses alliances de circonstance vite reniées, révèlent a quel point l'homme est sans principe, sans aucun sens du jugement, sans constance, sans éthique, en somme une véritable girouette qui s'allie à Myboto (Grand dignitaire du détournement de deniers au Gabon) pour la destruction et le pillage du pays. Il est clair que leur objectif commun inavoué est l'importation des massacres Ivoiriens et Rwandais au Gabon.
Ni l'un ni l'autre n'a jamais atteint un niveau de pourrissement moral et politique aussi immonde et nauséabond. L'un cherchant une virginité politique après avoir pillé toutes les caisses de tous les ministères qu'il a occupé mettant à genou tout un pays , l'autre à la conquête du Graal imaginaire, un hypothétique prix nobel , pauvre type , qui dans sa minabilité vendrait mère , femme , enfants et sa patrie pour une prostitution internationale.
Comme Mba Abessolo , André Mba Obame , Myboto et Pierre Mamboundou l'histoire retiendra qu'il eût au Gabon des hommes politiques et une certaine pseudo société civile de petite vertu et sans convictions, attirés par des appétits financiers, l'appât du gain facile et le goût du pouvoir à tout prix.
Au sein de ses gangs masqués en ONG règnent des activistes et d'illuminés qui entretiennent des liaisons "dangereuses" avec des vieux crocodiles de la politique gabonaise dont ils deviennent des relais. Au point que l'on a du mal à faire la différence entre les discours qu'ils tiennent et les envolées lyriques de ses politiciens véreux.
Pis, on parle aussi de collision avec des groupuscules d'ONG étrangères très peu crédibles (dont certaines sont parrainées par le tristement célèbre Georges SOROS). L'enquêteur français Pierre Péan n'a-t-il pas critiqué ces ONG dans son dernier livre ?
Le paroxysme de la gravité dans leurs agissements a été atteint lorsque ces leaders de gang d'ONG, pas souvent au dessus de tout soupçon, proches des hommes politiques avec lesquels ils ont des affinités ethniques, s'érigent en Procureur et donneurs de leçons de démocratie, de bonne gouvernance… PAUVRES TYPES !
Or, lorsqu'on fouille dans leurs officines, ces donneurs de leçons qui devraient prêcher par l'exemple, ne sont jamais de bons faiseurs. Peu d'entre eux sont capables de fournir des comptes sincères et crédibles ou de justifier la provenance douteuse de leurs fonds. Il est clair qu'ils font dans le blanchiment d'argent sale.
Leurs agissements arrangent certains groupuscules et groupements politico-ethniques.
En tout cas, il est grand temps de clarifier les choses. Comme l'avait rappelé l'ancien Ministre gabonais de l'Intérieur, André Mba Obame, soit on fait de la politique, soit on reste dans le cadre associatif, les registres et les champs d'action étant différents.
Ce genre de confusion est à condamner. On ne doit plus continuer à accepter ces dérapages provoqués par ceux-là qui ne s'illustrent que par la critique stérile. Car, de telles dérives inacceptables sous d'autres cieux ne doivent pas être admises au Gabon qui, jusqu'à preuve du contraire, est un pays de droit.
Les Gabonais ne sont pas dupes, ils ont très vite compris que cette pseudo société civile autoproclamée au Gabon s'est transformée en véritable caverne d'Ali Baba où l'on peut rencontrer tous les clandestins de l'ex union nationale et autres agris qui n'ont pu sauver leur beefsteak.
Cette nouvelle nébuleuse constituée de petits gougnafiers aux aboies, s'est inscrite dans les rang de l'opposition. Son unique objectif serait d'avoir des députés au parlement. Dites-le clairement !
MARC ONA ESSANGUI, TU VEUX FAIRE DE LA POLITIQUE DIS-LE CLAIREMENT. A DÉFAUT FERME TA GUEULE A JAMAIS !
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