Libreville, le 31 décembre 2013
Gabonaises, Gabonais, Mes chers compatriotes,
Au seuil de l’année 2014, j’adresse à chacun et à chacune d’entre vous, mes vœux de bonheur, de santé et de prospérité.
J’ai une pensée affective pour tous ceux qui ont été victimes de maladie, de détresse ou de sinistres.
C’est aussi l’occasion d’adresser avec une grande fierté nos vœux de pleins succès et tous nos encouragements à nos forces de défense et de sécurité qui travaillent à garantir notre quiétude quotidienne, et tout particulièrement à ceux qui défendent la paix en République Centrafricaine.
Je n’oublie pas non plus, nos compatriotes résidant à l’étranger : que nos meilleurs vœux les accompagnent dans leurs diverses entreprises.
Mes chers compatriotes,
Cette année qui s’achève est l’occasion traditionnelle de faire le bilan de notre action. Je voudrais aussi que ce soit le moment des mises en perspectives.
Depuis 2009, notre pays est un vaste chantier pour construire le Gabon émergent que je vous ai promis dans mon projet de société, l’Avenir en Confiance.
Bien sûr, je voudrais que les projets avancent plus vite et que chacun d’entre vous puisse vivre le changement dans son quotidien. Et pour cela, comme je m’y suis engagé, je ne ménagerai aucun effort.
Grâce à vous tous, l’année 2013 qui vient de s’écouler a été très dense. De nombreux projets ont pris corps. Ils ont permis de consolider davantage les fondamentaux sur lesquels nous bâtissons chaque jour, le triptyque « Paix, Développement et Partage ».
De trop nombreux exemples à travers le monde, et en Afrique en particulier, nous montrent que sans la Paix, aucun développement économique, aucun épanouissement humain et social, aucun avenir n’est possible.
C’est pourquoi, je me réjouis de ce que la mise en œuvre effective de la biométrie ait été une nouvelle occasion de consolider notre démocratie, au terme d’un exercice consensuel ayant associé tous les acteurs de la vie politique nationale.
Le retour aux urnes de nos concitoyens, qui ont compris l’enjeu de la mise en place de ce système performant, doit aussi interpeller tous les élus sur les responsabilités qui sont désormais les leurs pour conduire les destinées de nos collectivités locales.
Que tous les acteurs politiques de notre pays, que toutes les instances dédiées à l’organisation et à la supervision des opérations électorales, que tous nos partenaires soient remerciés pour le bon déroulement d’un scrutin libre et transparent qui contribue à renforcer davantage la crédibilité et le prestige de notre pays.
Dans le même sens, je voudrais me féliciter de l’élection du Gabon à la présidence de la Commission des droits de l’homme des Nations Unies, preuve une fois encore, des efforts de notre pays pour garantir les droits de l’homme et préserver l’exercice des libertés individuelles et collectives.
Mes chers compatriotes,
Les négociations menées par le Gouvernement et les partenaires sociaux sur bien des sujets, témoignent de la vitalité de notre dialogue social. Dialogue qui doit continuer à s’opérer dans les formes prévues par notre législation et dans le respect des institutions de la République.
Cette maturité politique et syndicale dont nous avons su faire montre, témoigne, une fois de plus, de notre attachement à un environnement serein et paisible. Nous devons continuer à y travailler sans relâche, afin de poursuivre dans cette voie, seule garante de progrès économiques et sociaux sûrs et durables.
A ce sujet, j’ai décidé de la création et de la mise en œuvre du Conseil National de l’Education, de la Formation et de la Recherche qui sera désormais le cadre de concertation pour traiter globalement et définitivement des grandes questions relatives à l’éducation et la formation dans notre pays.
Mes chers compatriotes,
Les multiples institutions crédibles qui jaugent l’économie et les performances mondiales soulignent les progrès significatifs de notre pays au cours de ces dernières années. Ces résultats, fruits de nos efforts conjugués, sont autant d’encouragement à persévérer sur la voie que nous avons librement choisie car ce qui reste à faire est encore plus important et plus déterminant que ce qui a été fait.
J’en veux pour preuve, cette opération réussie de levée de fonds de 750 milliards de francs CFA sur les marchés internationaux. Elle témoigne de leur confiance en notre pays et nous encourage à aller encore plus loin.
Ainsi, nous allons pouvoir accélérer le rythme des projets de développement et poursuivre la diversification de notre économie.
A ce titre, je note avec beaucoup de satisfaction une plus grande implication du secteur privé dans les projets de transformation et de valorisation de nos matières premières.
C’est la preuve de l’amélioration des conditions juridiques, contractuelles et fiscales, mais aussi, des infrastructures dans les secteurs de l’énergie, de l’eau et du transport. Infrastructures qui répondront aussi bien aux besoins de l’Industrie qu’à ceux des ménages gabonais.
La livraison du barrage du Grand Poubara et de la centrale thermique d’Alénékiri répond de cette logique. Dans le même ordre d’idées, la route Port-Gentil – Omboué, avec plus de 12 kms de ponts, permettra de connecter la capitale économique au reste du réseau routier national en pleine expansion. Rallier Port-Gentil par la route sera bientôt une réalité.
Le Gabon est en marche vers l’émergence grâce à une approche cohérente et structurante de notre stratégie.
Cependant, les attentes légitimes de nos concitoyens sont encore grandes.
Mes chers compatriotes
La solidarité est une valeur fondamentale de notre pacte républicain. Elle doit se traduire notamment dans notre système de sécurité et de garantie sociale ainsi que dans notre dispositif collectif de solidarité.
S’agissant de la protection sociale, l’année 2013 a été marquée par l’amorce de l’immatriculation des salariés du secteur privé et leurs ayants droits, à la C.N.A.M.G.S.
Cette affiliation de nos compatriotes, matérialise l’extension universelle de la couverture sociale en 2014.
Elle ouvre droit à une prise en charge effective de cette frange de la population, après celles des Gabonais économiquement faibles et des agents publics.
A cet effet, j’exhorte le Gouvernement à accélérer le processus d’immatriculation et du transfert des compétences de la C.N.S.S à la C.N.A.M.G.S, en ce qui concerne les prestations de santé.
Je rappelle en outre, que l’un des principaux objectifs assignés à la C.N.A.M.G.S est de parfaire l’accès à l’offre de soins pour tous. A ce titre, elle canalise d’importantes ressources financières vers l’ensemble du système sanitaire.
Mais, en dépit de ce dispositif et des règlements effectués par la C.N.A.M.G.S, j’observe la persistance d’un problème de redistribution des fonds destinés à chaque structure sanitaire. En outre, la qualité actuelle de l’offre de soins ne reflète pas assez les efforts consentis par les différents contributeurs financiers.
Aussi, je demande au Gouvernement de veiller au strict respect de la répartition réglementaire des recettes générées par les formations sanitaires du service public de santé.
Par ailleurs, j’instruis le Premier Ministre à créer un Compte Spécial pour les Investissements des Formations Sanitaires publiques, en vue d’en améliorer la qualité de l’offre de soins.
Enfin, pour rapprocher le service public de l’assurance maladie obligatoire des populations, en 2014, le programme de construction des Délégations provinciales de la C.N.A.M.G.S devra se poursuivre, à Lambaréné, Makokou et Port-Gentil.
En ce qui concerne notre dispositif de solidarité, le Fonds National d’Aide Sociale doit jouer de mieux en mieux son rôle et remplir sa mission exclusive d’assurer la collecte, la centralisation et l’attribution de l’aide sociale.
Notre pays déploie un dispositif d’aide important. Il doit profiter davantage à ses destinataires, à savoir, les foyers économiquement faibles. C’est donc toute notre stratégie de solidarité sociale que nous reconsidérons en déployant une nouvelle politique d’accompagnement de ces foyers.
A ce sujet, une étude récente montre que sur les 300 milliards d’inscription budgétaire dédiés à l’aide sociale et aux autres subventions, seuls 20% de ces ressources bénéficient réellement aux couches sociales les plus défavorisées. CELA DOIT CHANGER, ET CELA VA CHANGER EN 2014.
Il est devenu impératif, au-delà des politiques de développement de l’économie et des infrastructures, que nous nous engagions dans une politique active de réduction effective de la pauvreté et de la précarité.
Il y va de notre cohésion sociale.
Aussi, je rends hommage à la Première Dame, qui s’est résolument engagée aux côtés de nos concitoyens, pour établir un diagnostic de la politique d’aide sociale et pour redéfinir une nouvelle stratégie plus efficace et plus lisible, organisée autour du Fonds National d’Aide Sociale et de la CNAMGS.
Cette nouvelle approche intègre non seulement la réduction de la pauvreté mais s’attaque également aux facteurs aggravants de la précarité et de l’exclusion.
Cette assistance de l’Etat aux personnes les moins favorisées ne se fera pas sans conditions.
En effet, il faudra, pour les bénéficiaires, montrer une réelle volonté d’insertion sociale.
Ce principe de l’effort en contrepartie du soutien de l’Etat, sera étendu à tous les secteurs pour accompagner cette politique nationale d’investissement humain.
Mes chers compatriotes,
Il ne s’agit pas uniquement de mieux gérer les finances publiques, mais aussi, et je dirai surtout, d’établir un système plus efficace, plus juste et plus équitable.
Il s’agit aussi de mieux responsabiliser les Gabonais et de les pousser à être plus entreprenants pour s’impliquer davantage dans notre économie.
Gabonaises, Gabonais, mes Chers Compatriotes,
Une fois encore, une fois de plus, je voudrais réitérer mon appel au patriotisme et inviter chacun au rassemblement devant les défis que l’histoire nous invite à relever ensemble.
Je demande à chacune et à chacun de rejeter résolument les critiques primaires et subjectives, la stigmatisation systématique de l’action publique, les dénigrements intempestifs, instinctifs et stériles.
Les marques de confiance que nous témoigne la communauté internationale doivent nous interpeller et nous rassurer sur la pertinence de nos choix.
A tous ceux qui aiment notre pays, à tous ceux qui veulent le bien et le bonheur du Gabon et des Gabonais, à tous ceux qui vivent dans notre pays et qui apportent leurs compétences et leur force de travail, je dis Excellente Année 2014 !
Que dieu bénisse le Gabon !
Au seuil de l’année 2014, j’adresse à chacun et à chacune d’entre vous, mes vœux de bonheur, de santé et de prospérité.
J’ai une pensée affective pour tous ceux qui ont été victimes de maladie, de détresse ou de sinistres.
C’est aussi l’occasion d’adresser avec une grande fierté nos vœux de pleins succès et tous nos encouragements à nos forces de défense et de sécurité qui travaillent à garantir notre quiétude quotidienne, et tout particulièrement à ceux qui défendent la paix en République Centrafricaine.
Je n’oublie pas non plus, nos compatriotes résidant à l’étranger : que nos meilleurs vœux les accompagnent dans leurs diverses entreprises.
Mes chers compatriotes,
Cette année qui s’achève est l’occasion traditionnelle de faire le bilan de notre action. Je voudrais aussi que ce soit le moment des mises en perspectives.
Depuis 2009, notre pays est un vaste chantier pour construire le Gabon émergent que je vous ai promis dans mon projet de société, l’Avenir en Confiance.
Bien sûr, je voudrais que les projets avancent plus vite et que chacun d’entre vous puisse vivre le changement dans son quotidien. Et pour cela, comme je m’y suis engagé, je ne ménagerai aucun effort.
Grâce à vous tous, l’année 2013 qui vient de s’écouler a été très dense. De nombreux projets ont pris corps. Ils ont permis de consolider davantage les fondamentaux sur lesquels nous bâtissons chaque jour, le triptyque « Paix, Développement et Partage ».
De trop nombreux exemples à travers le monde, et en Afrique en particulier, nous montrent que sans la Paix, aucun développement économique, aucun épanouissement humain et social, aucun avenir n’est possible.
C’est pourquoi, je me réjouis de ce que la mise en œuvre effective de la biométrie ait été une nouvelle occasion de consolider notre démocratie, au terme d’un exercice consensuel ayant associé tous les acteurs de la vie politique nationale.
Le retour aux urnes de nos concitoyens, qui ont compris l’enjeu de la mise en place de ce système performant, doit aussi interpeller tous les élus sur les responsabilités qui sont désormais les leurs pour conduire les destinées de nos collectivités locales.
Que tous les acteurs politiques de notre pays, que toutes les instances dédiées à l’organisation et à la supervision des opérations électorales, que tous nos partenaires soient remerciés pour le bon déroulement d’un scrutin libre et transparent qui contribue à renforcer davantage la crédibilité et le prestige de notre pays.
Dans le même sens, je voudrais me féliciter de l’élection du Gabon à la présidence de la Commission des droits de l’homme des Nations Unies, preuve une fois encore, des efforts de notre pays pour garantir les droits de l’homme et préserver l’exercice des libertés individuelles et collectives.
Mes chers compatriotes,
Les négociations menées par le Gouvernement et les partenaires sociaux sur bien des sujets, témoignent de la vitalité de notre dialogue social. Dialogue qui doit continuer à s’opérer dans les formes prévues par notre législation et dans le respect des institutions de la République.
Cette maturité politique et syndicale dont nous avons su faire montre, témoigne, une fois de plus, de notre attachement à un environnement serein et paisible. Nous devons continuer à y travailler sans relâche, afin de poursuivre dans cette voie, seule garante de progrès économiques et sociaux sûrs et durables.
A ce sujet, j’ai décidé de la création et de la mise en œuvre du Conseil National de l’Education, de la Formation et de la Recherche qui sera désormais le cadre de concertation pour traiter globalement et définitivement des grandes questions relatives à l’éducation et la formation dans notre pays.
Mes chers compatriotes,
Les multiples institutions crédibles qui jaugent l’économie et les performances mondiales soulignent les progrès significatifs de notre pays au cours de ces dernières années. Ces résultats, fruits de nos efforts conjugués, sont autant d’encouragement à persévérer sur la voie que nous avons librement choisie car ce qui reste à faire est encore plus important et plus déterminant que ce qui a été fait.
J’en veux pour preuve, cette opération réussie de levée de fonds de 750 milliards de francs CFA sur les marchés internationaux. Elle témoigne de leur confiance en notre pays et nous encourage à aller encore plus loin.
Ainsi, nous allons pouvoir accélérer le rythme des projets de développement et poursuivre la diversification de notre économie.
A ce titre, je note avec beaucoup de satisfaction une plus grande implication du secteur privé dans les projets de transformation et de valorisation de nos matières premières.
C’est la preuve de l’amélioration des conditions juridiques, contractuelles et fiscales, mais aussi, des infrastructures dans les secteurs de l’énergie, de l’eau et du transport. Infrastructures qui répondront aussi bien aux besoins de l’Industrie qu’à ceux des ménages gabonais.
La livraison du barrage du Grand Poubara et de la centrale thermique d’Alénékiri répond de cette logique. Dans le même ordre d’idées, la route Port-Gentil – Omboué, avec plus de 12 kms de ponts, permettra de connecter la capitale économique au reste du réseau routier national en pleine expansion. Rallier Port-Gentil par la route sera bientôt une réalité.
Le Gabon est en marche vers l’émergence grâce à une approche cohérente et structurante de notre stratégie.
Cependant, les attentes légitimes de nos concitoyens sont encore grandes.
Mes chers compatriotes
La solidarité est une valeur fondamentale de notre pacte républicain. Elle doit se traduire notamment dans notre système de sécurité et de garantie sociale ainsi que dans notre dispositif collectif de solidarité.
S’agissant de la protection sociale, l’année 2013 a été marquée par l’amorce de l’immatriculation des salariés du secteur privé et leurs ayants droits, à la C.N.A.M.G.S.
Cette affiliation de nos compatriotes, matérialise l’extension universelle de la couverture sociale en 2014.
Elle ouvre droit à une prise en charge effective de cette frange de la population, après celles des Gabonais économiquement faibles et des agents publics.
A cet effet, j’exhorte le Gouvernement à accélérer le processus d’immatriculation et du transfert des compétences de la C.N.S.S à la C.N.A.M.G.S, en ce qui concerne les prestations de santé.
Je rappelle en outre, que l’un des principaux objectifs assignés à la C.N.A.M.G.S est de parfaire l’accès à l’offre de soins pour tous. A ce titre, elle canalise d’importantes ressources financières vers l’ensemble du système sanitaire.
Mais, en dépit de ce dispositif et des règlements effectués par la C.N.A.M.G.S, j’observe la persistance d’un problème de redistribution des fonds destinés à chaque structure sanitaire. En outre, la qualité actuelle de l’offre de soins ne reflète pas assez les efforts consentis par les différents contributeurs financiers.
Aussi, je demande au Gouvernement de veiller au strict respect de la répartition réglementaire des recettes générées par les formations sanitaires du service public de santé.
Par ailleurs, j’instruis le Premier Ministre à créer un Compte Spécial pour les Investissements des Formations Sanitaires publiques, en vue d’en améliorer la qualité de l’offre de soins.
Enfin, pour rapprocher le service public de l’assurance maladie obligatoire des populations, en 2014, le programme de construction des Délégations provinciales de la C.N.A.M.G.S devra se poursuivre, à Lambaréné, Makokou et Port-Gentil.
En ce qui concerne notre dispositif de solidarité, le Fonds National d’Aide Sociale doit jouer de mieux en mieux son rôle et remplir sa mission exclusive d’assurer la collecte, la centralisation et l’attribution de l’aide sociale.
Notre pays déploie un dispositif d’aide important. Il doit profiter davantage à ses destinataires, à savoir, les foyers économiquement faibles. C’est donc toute notre stratégie de solidarité sociale que nous reconsidérons en déployant une nouvelle politique d’accompagnement de ces foyers.
A ce sujet, une étude récente montre que sur les 300 milliards d’inscription budgétaire dédiés à l’aide sociale et aux autres subventions, seuls 20% de ces ressources bénéficient réellement aux couches sociales les plus défavorisées. CELA DOIT CHANGER, ET CELA VA CHANGER EN 2014.
Il est devenu impératif, au-delà des politiques de développement de l’économie et des infrastructures, que nous nous engagions dans une politique active de réduction effective de la pauvreté et de la précarité.
Il y va de notre cohésion sociale.
Aussi, je rends hommage à la Première Dame, qui s’est résolument engagée aux côtés de nos concitoyens, pour établir un diagnostic de la politique d’aide sociale et pour redéfinir une nouvelle stratégie plus efficace et plus lisible, organisée autour du Fonds National d’Aide Sociale et de la CNAMGS.
Cette nouvelle approche intègre non seulement la réduction de la pauvreté mais s’attaque également aux facteurs aggravants de la précarité et de l’exclusion.
Cette assistance de l’Etat aux personnes les moins favorisées ne se fera pas sans conditions.
En effet, il faudra, pour les bénéficiaires, montrer une réelle volonté d’insertion sociale.
Ce principe de l’effort en contrepartie du soutien de l’Etat, sera étendu à tous les secteurs pour accompagner cette politique nationale d’investissement humain.
Mes chers compatriotes,
Il ne s’agit pas uniquement de mieux gérer les finances publiques, mais aussi, et je dirai surtout, d’établir un système plus efficace, plus juste et plus équitable.
Il s’agit aussi de mieux responsabiliser les Gabonais et de les pousser à être plus entreprenants pour s’impliquer davantage dans notre économie.
Gabonaises, Gabonais, mes Chers Compatriotes,
Une fois encore, une fois de plus, je voudrais réitérer mon appel au patriotisme et inviter chacun au rassemblement devant les défis que l’histoire nous invite à relever ensemble.
Je demande à chacune et à chacun de rejeter résolument les critiques primaires et subjectives, la stigmatisation systématique de l’action publique, les dénigrements intempestifs, instinctifs et stériles.
Les marques de confiance que nous témoigne la communauté internationale doivent nous interpeller et nous rassurer sur la pertinence de nos choix.
A tous ceux qui aiment notre pays, à tous ceux qui veulent le bien et le bonheur du Gabon et des Gabonais, à tous ceux qui vivent dans notre pays et qui apportent leurs compétences et leur force de travail, je dis Excellente Année 2014 !
Que dieu bénisse le Gabon !
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