En 2010 ont eu lieu les Etats généraux de l'Education qui ont regroupés tous les partenaires du système éducatif - syndicats d'enseignants, associations de parents d'élèves, représentants des étudiants et parlementaires.
Une loi a été votée par la suite pour une mise en place à la rentrée 2013.
On ne peut pas dire que les grévistes d'aujourd'hui n'ont pas discuté hier. Et que les responsables de l'éducation n'ont pas participé à l'élaboration de la réforme.
Certes tout n'a pas encore pu être mis en œuvre, notamment sur le nombre de classes, mais c'est en cours. Et doit-on pour cela prendre le risque de tout faire reculer, au mépris même de l'avenir des élèves qui risquent une année blanche ?
Les autorités ont prouvé qu'elles étaient capables d'écouter. Mais l'emploi de la violence ne fait que retarder et entacher le dialogue.
NON à une année blanche ! Faîtes circuler !
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