Les revoilà qui nous bassinent les tympans avec leur BMA (à ne pas confondre avec Bien Malheureux et Maladroits Articles) !
Comment en serait-il autrement dans un conglomérat de journaleux affairistes qui font des prétendus Biens mal acquis leur fonds de commerce épisodique, de politiciens couverts du manteau de la société civile
et pas assez courageux pour assumer leurs options et de la clique du plus grand malade imaginaire et ridicule de tous les temps (suivez mon regard !).
Ces attaques par presse bien pensante interposée et manipulée nous rassurent.
En effet chaque fois qu’elles interviennent, elles coïncident avec de nouvelles avancées en ce qui concerne le Gabon Emergent sous la conduite du Président Ali BONGO ONDIMBA.
Chaque fois que le Gabon innove, inscrit des réussites à son actif, élargit son cercle d’amitié, d’investisseurs, sa notoriété internationale,
le gang des apprentis-sorciers et ensableurs de couscous se livre à son exercice favori : l’amalgame, le mensonge nourris à la sauce du préjugé
tenace de rédactions qui ne connaissent l’Afrique que dans les livres de géographie, les mythes et clichés.
Et les voilà avec leurs relais et tocards identifiés et connus de tous qui franchissent le Rubicon en essayant de salir
et le Président Ali contre qui ils n’ont rien trouvé malgré moult investigations mais pis contre la Première Dame qui n’a pas attendu
la consécration de son époux à la tête de l’Etat pour se bâtir une fortune.
Dussé-je blesser sa modestie, Madame vient d’une grande famille parmi les plus grandes fortunes du continent
et c’est utile de le dire et de le rappeler pour que nul n’en ignore.
Mieux, en femme d’affaires entreprenante, elle a créée, à la sueur de son front,
des structures et des emplois au Gabon il y a des années. Vos informateurs et acolytes tapis dans l’ombre le savent.
La malhonnêteté consiste par un glissement vicieux à faire croire qu’une carte de crédit de prestige personnelle soit alimentée par des fonds publics.
Ceci est tout simplement détestable et inélégant vis-à-vis d’une Grande Dame, proche de ses concitoyens,
discrète et efficace, une Dame de cœur et de classe comme on aimerait bien en voir dans les palais du monde entier.
La dernière CAN 2012 sans SIDA en est une illustration internationale.
Mais que peut-on attendre d’autre d’une meute de gueux vaniteux, jaloux, paternalistes et condescendants ?
Le Sieur Bourdon, avocat à ses heures perdues, est en plein dans son opération de communication.
Il se substitue aux pétitionnaires nationaux, s’acoquine du président du ridicule, qui chaque jour qui passe voit son rêve de
Président ou son désir revu à la baisse en premier PM du Wolen Ntem (hélas!) s’évaporer face aux réalisations visibles dans tous les domaines
par chacun de nos compatriotes.
Cette campagne médiatique et judiciaire est et restera vaine en ce qui concerne le Gabon.
Sous l’impulsion du Président Ali BONGO ONDIMBA, qui lie l’acte à la parole, le Gabon suscite l’intérêt de pays développés et émergents,
d’investisseurs de divers horizons, tant des pays et aires de coopération traditionnelle et historiques auxquelles il est lié par des siècles d’histoire,
de langue en partage notamment la France que des nouveaux acteurs de l’économie mondiale.
Avec Ali BONGO ONDIMBA, le Gabon s’est engagé à mettre en place les facteurs irréversibles de développement :
les infrastructures, l’énergie et le capital humain, la bonne gouvernance.
Il a su avec lucidité et courage faire sienne la maxime selon laquelle « un Etat a des intérêts » en prenant la décision d’arrêt d’exportation des grumes
et d’une nécessaire première ou seconde transformation locale, en faisant entrer le Gabon dans le capital d’ERAMET,
en décidant, outre l’élaboration de nouveaux codes minier et pétrolier, de la création de la Société nationale des hydrocarbures, d’une nouvelle politique
énergétique, du partenariat avec Bechtel dans le cadre de l’Agence Nationale des Grands Travaux, de la mise en place d’un Fonds National Souverain parmi
une multitude d’initiatives fortes et structurantes.
C’est au moment où un leader africain de la nouvelle génération fait mentir quotidiennement les pronostics ubuesques de quelques perdants éternels encore
assommés ou convalescents et autres oiseaux sinistres par la clarté de sa vision, la déclinaison méthodique de son plan stratégique et des signaux forts
de bonne gouvernance, que l’acharnement atteint son paroxysme avec des procédures tout aussi ordurières que la psychologie de leurs instigateurs,
qu’il s’agisse des « Has been » de la Françafrique, aux accès coupés vers les palais ou de leurs relais et acolytes locaux et autres Oncles Tom tropicaux,
apprentis en réactivation des réseaux décadents et pirouettes en tout genre.
La présente « War dance », sorte de danse du scalp et de préparation psychologique des agitateurs de quartiers et conspirateurs et
leurs moult agitations ne continueront qu’à les confiner à la périphérie! A d’autres temps et d’autres générations, d’autres mœurs,
d’autres valeurs, d’autres ambitions ! Il ne s’agit ni plus ni moins que des dernier coups de sabots du cheval mourant (The last kick of the dying horse).
L’option du Président Ali BONGO ONDIMBA porte la marque des nouveaux dirigeants, d’un nouveau partenariat, du co-développement et se heurte aux
vicissitudes et vestiges de cercles groupusculaires de la Vieille France, celle de la mafia conspiratrice derrière ses rideaux de fumée selon
l’expression de Pierre Péan.
Les tentatives des offreurs de services locaux, rats de rédactions ou autres activistes de l’hexagone habitués à vivre de tels fonds de commerce seront vaines. Le Gabon ne laissera pas utiliser une quelconque division avec la France.
Au Gabon, malgré les frustrations et la hâte de vivre l’impact des changements en cours, les populations suivent et voient la démarche,
le style, les effets des décisions du Président Ali BONGO ONDIMBA, au service de la Nation.
En France : l’opinion publique moralisatrice par nature, comprendra qu’il faille aujourd’hui moraliser tout ce qui était immoral hier et que tout
comme la France, les autres pays en développements puissent aspirer à la gouvernance et à l’émergence.
Si, le reproche commun et dominant est la constitution de patrimoines mobiliers et immobiliers faramineux par des dirigeants dans les pays occidentaux,
sur la base de l’extorsion des fonds publics de leur pays et populations appauvries, l’information exacte doit prévaloir sur le lynchage médiatique et
la condescendance.
Les scandales, lorsqu’ils sont établis, d’un bord à l’autre de la Méditerranée et du Sahara, doivent être dénoncés et punis.
Tous les scandales, indépendamment de l’exercice ou non de certaines fonctions ou de la posture du moment.
Toute liste devra être inclusive, y compris les abonnés au pouvoir d’un hier récent.
Au sein d’une opinion publique, d’une action politique et d’une démarche économique qui devient de plus en plus internationale,
la question n’est pas sans importance de voir ainsi livrées en pâture des personnalités qui effectuent depuis des années
le juste combat de la survie de leurs Etats mais encore plus à l’encontre d’un dirigeant ,
symbole du nouveau leadership et de la nouvelle génération comme Ali BONGO ONDIMBA.
Elle engage en effet, non seulement leur réputation en tant qu’individu, mais plus encore, la capacité des peuples qu’ils représentent à exister
dans l’âpre bataille que se mènent les nations, pour obtenir le plus de prospérité matérielle, la plus grande extension de libertés
et le plus grand rayonnement culturel et social pour leurs peuples.
Au Gabon c’est tout le sens du pilotage par la vision pour aller vers l’émergence, le développement,
le partage dans la paix, l’unité et la cohésion nationales.
Source : UJPDG-France
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