Ce que vous allez lire dans les lignes qui suivent n'est qu'une réplique aux propos injurieux proférés par les membres d'un parti politique de contestation, lequel avait semblé vouloir donner des leçons au Parti Démocratique Gabonais et au Gouvernement. Nous avons tenu à leur répondre avec leurs propres mots .Nous vous recommandons vivement de prendre 10 minutes de votre temps, et de lire entièrement ce Droit de Réponse de la Jeune Garde de l'Emergence !
Indignez-vous donc, Mesdames et Messieurs les membres de l'UN (Usurpateurs Nationaux) !
Dans un communiqué publié dans le journal L’Union du lundi 3 janvier 2011, relatif aux détournements constatés à la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), le gouvernement de l’Emergence avait apporté des informations supplémentaires, en établissant une connivence à juste titre entre les leaders de l’«UN» et des médias étrangers, contre les intérêts du Gabon et du peuple gabonais.
En réalité, c’est le soutien incontestablement populaire et international à l’action du Président ALI BONGO ONDIMBA qui rend « épileptiques » nos amis de l’UN, ne faisant d’ailleurs que révéler au grand jour la fébrilité, la vacuité, l’irresponsabilité, l’incompétence proverbiale et prémonitoire de ces Usurpateurs Nationaux désormais mués en force révisionniste de nuisance.
Oui, le Président ALI BONGO ONDIMBA est un homme responsable qui entretient au profit du Gabon et des Gabonais, des relations d’amitié et de coopération avec des partenaires étrangers dans la perspective de partenariats utiles, constructifs et gagnants-gagnants pour notre pays.
Qui peut s’en offusquer ?
Ce ne sont certainement pas ces «roquentins», dont l’un des candidats à la "chasteté politiquement contestée" (il serait le « Moïse » du Gabon) et « convaincu » de sa défaite à plate couture dans les urnes à la présidentielle d’août 2009, s’est précipité à l’étranger pour pleurnicher une reconnaissance que le peuple gabonais lui a clairement refusée.
Avant de revenir aux arguties de ces « ménopausées de la politique» en mal de légitimité nationale et de résultats, il est important de relever une excellente remarque contenue dans le communiqué du gouvernement, où les membres de cette "Nébuleuse" sont traités à juste titre de « marginaux », à la place on aurait volontiers parlé de « Clampin(s) de la République ! »
Il n’est pas ridicule de marginaliser une bande de « bélîtres affamés » qui compte parmi ses membres le « Tom Soyer » de l’Assemblée Nationale gabonaise, lequel depuis plus de six mois d’école buissonnière, a déserté son siège en fuguant vers la France, afin de se faire adouber par la vielle garde de la Françafrique, celle-là même qui jadis, en faiseuse de rois, décidaient du destin des pays africains à la place de leurs peuples.
C’est ainsi que notre « Tom Soyer» nationale se fera « nommer » vainqueur à « 42% » contre « 37% » pour ALI BONGO ONDIMBA, et sur quel fondement tenez vous bien ? Un documentaire diffusé sur les antennes de France 2 et dans lequel "trois vieux sorciers blancs", par de simples paroles "magiques" et parfois travesties au montage, décident du vainqueur de l'élection présidentielle d'un pays, sous le regard pantois de l'opinion internationale.
Comme quoi, la simple parole de ces trois vieux templiers revêt un caractère normatif ! (très hilarant)
En conclusion on nous enseigne que sur 17 Candidats, «Moïse» qui n’est pourtant arrivé en tête que dans deux provinces sur 9 (Estuaire et Woleu-Ntem) , et encore, dans l’Estuaire son score n’a guère dépassé les 45%, est élu avec 42%, devant ALI BONGO ONDIMBA à qui l’on attribuerait 37% malgré les 4 provinces sur 9 qu'il a raflé quand il n’était pas second dans les 5 autres. C'est ainsi dire que le Woleu-Ntem et l'Estuaire constitueraient à elles seules, plus de la moitié de l'électorat gabonais(rire), sachant que beaucoup parmi les habitants de Libreville la capitale, votent dans leurs circonscriptions respectives!
Cependant, ni le score de Pierre MAMBOUNDOU, principal opposant historique et populaire au Gabon, ni celui des 14 autres candidats ne font l'objet de commentaires dans le fameux documentaire (les premiers calculs mentaux nous laissent penser que selon la théorie de nos trois vieux sorciers, tous les autres 14 autres candidats auraient totalisé chacun 0% des suffrages). Nous y reviendrons en détails pour vous démontrer mathématiquement la grosse plaisanterie de nos "amis" françafricains.
Quoiqu’il en soit, le PDG ne recommande à l'opposition ventriloque de l'UN qu’une seule chose : que la victoire de son candidat devenu Président de la République depuis plus d'un an, soit définitivement respectée, conformément à la volonté du peuple gabonais clairement exprimée le 30 août 2009.
ALI BONGO ONDIMBA a été élu avec 41,79%, et Pierre MAMBOUNDOUsecond avec 25,64%, suivis des 15 autres candidats malheureux.
A tous ces marginaux , usurpateurs invétérés de victoire électorale qui, bien que minoritaires dans le pays, cherchent à faire main basse sur toutes les institutions de l’Etat, comme le montrent malheureusement les nombreuses infiltrations de leur disciples dans toutes les administrations de l'Etat et torpillant systématiquement tous les nombreux dossiers d’émergence, en violation flagrante des aspirations légitimes du peuple gabonais au développement, nous leur disons ASSEZ et LAISSEZ NOUS AVANCER !
Quel Gabonais pourrait aujourd’hui prendre au sérieux les élucubrations d’une ribambelle d’hommes et de femmes « politiquement ménopausées »,affamés par la disette des mallettes nocturnes d’antan auxquelles ils n'ont plus droit, et aujourd'hui aux abois? AUCUN !
La déception exprimée par feu le président Omar BONGO ONDIMBA, dans son allocution du 1er décembre 2007, s’adressait particulièrement aux traitres, auxsans hontes et anciens membres du gouvernement aujourd’hui reconvertis en force d’inertie et de déstabilisation regroupées au sein de cette nébuleuse nommée « UN ».
L’usage par le défunt président lui-même du « nous » lorsqu’il affirmait que «Dieu ne nous a pas donné le Gabon pour en faire ce que vous en avez fait » n’est-il pas édifiant à cet égard ?
Alors que certains thuriféraires, bannis du Parti Démocratique Gabonaise pour traitrise, ont essayé de convaincre Omar BONGO ONDIMBA de ne pas prendre cette posture, d’autres, qui sont toujours au PDG aujourd'hui l’ont plutôt encouragé à prononcer ce discours bilan, pour ouvrir de nouvelles perspectives.
Décidément l’amnésie frappe les hooligans de l’UN et le gang illégitime qu’ils soutiennent. Un fait est clair, nombreux sont, parmi les vuvuzélés actuels de la nébuleuse dont on ne citera plus le nom, ceux là même qui ont pillés le pays et tentent aujourd’hui de se défausser sur les autres en se drapant d’une fausse virginité. Ils seront bientôt confondus.
Que la « nébuleuse » sache que la possibilité de venir aux affaires ne dépend pas de sa volonté étriquée, mais du seul PEUPLE GABONAIS !
La vérité est que « la nébuleuse » est aux abois, à ce rythme, il y a de sérieuses craintes pour la sécurité de nos concitoyens et l’on ne peut que s’interroger sur la nature réelle de nos pseudo-opposants d’aujourd’hui. Disposent-ils encore de toutes leurs facultés mentales ? Certainement pas !
Le combat politique n’est pas un combat physique. C’est un débat d’idées qui met aux prises des acteurs politiques civilisés chargés de défendre, dans le respect mutuel, leurs points de vue, leurs projets. Cependant nous constatons malheureusement que les membres de « la nébuleuse » évoluent en permanence dans un registre de violences déjà verbales, comme le traduisent les menaces voilées proférées contre certains vaillants jeunes citoyens de la diaspora !
L’image que renvoient aujourd’hui nos « ménopausées politiques », est celle d’une association de cannibales, armés de fusils nocturnes et prêts à flinguer tous ceux qui osent s’opposer à leurs idées contre-productives et contre-émergentes.
De telles pratiques relèvent de la barbarie et sont l’œuvre d’hommes à l’épiderme frustre, de prédateurs incapables de mobiliser les Gabonais autour d’un projet politique sérieux, des comédiens de foire en mal de talent, rivalisant de fumisterie.
Dans tout système démocratique, le rôle d’une opposition responsable est de dénoncer les travers de ceux qui gouvernent et de leur demander des comptes. Or nous constatons encore malheureusement que« la nébuleuse » est incapable de remplir ce rôle, aussi nous demandons au Gouvernement de dissoudre immédiatement cette organisation mafieuse d'hooligans tribalistes aux ordres du Malin.
Le Parti Démocratique Gabonais et le gouvernement ne se laisseront pas distraire par les gesticulations de ces gangsters en mal de légitimité, dont le seul souci est de prendre définitivement en otage la République.
La Jeune Garde de l’Emergence y veillera nuit et jour avec l’aide du Très Haut !
IL N'Y A QU'UN SEUL PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AU GABON ET SON NOM EST ALI BONGO ONDIMBA !
Tenez-le définitivement pour dit et arrêtez de Clabauder, cela ne vous grandit pas et n'honore pas le Gabon !
Auteurs et "Lifting":La Jeune Garde de l'Emergence (Gomez Mabenga, Eric Mimfoumou, Patrick Dakoro, Michel Ogandaga)
Source : UJPDG France
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